Alerte à bord du "Costa Hollandia" : Avis de grands frais, emprunts forcés à l'horizon
Jeu 17 Mai - 22:02
Alerte à bord du "Costa Hollandia" : Avis de grands frais, emprunts forcés à l'horizon
L'électorat de Nicolas Sarkozy au second tour exprime majoritairement un vote d'adhésion, affirmant son «envie qu'il soit président» (54 %) et non pas «pour barrer la route à François Hollande» (46 %). Les électeurs de François Hollande déclarent majoritairement (55 % des citations) «barrer la route à Nicolas Sarkozy» est la principale raison de voter en sa faveur.
Le SarkoBashing a eu raison de la Raison. Ils s'y sont tous mis avec leur propagande systématique martelée durant cinq ans, socialistes, extrémistes de gauche comme de droite... Ils ont gagné...Nicolas Sarkozy, le mal aimé par certains, celui que les autres ne peuvent qu'honorer est parti.
Et c'est aujourd'hui, François Hollande qui préside au destin de la France.
Et pourtant...
Une récente enquête de l'INSEE avait révélé qu'en avril 2012 , la situation financière des ménages est en amélioration, le niveau de vie en France en légère progression l'opportunité d’épargner est en forte hausse, la confiance a été en hausse de 7 points depuis novembre 2011. Ce bilan est à ajouter aux réussites remarquables du président Nicolas Sarkozy dans un contexte de crises d'une exceptionnelle violence et brutalité.
On est donc en droit de se demander, à qui profite l'imposture ?
Si les deux tendances de droite et de gauche, s'accordent sur la nécessité de relancer la croissance par la relance de la consommation, leurs méthodes respectives sont radicalement différentes :
A droite, la croissance est jugée impossible si on ne limite et ne réduit pas les dépenses de l’État, la gestion du budget national se veut vertueuse. Et ainsi l'augmentation des impôts sur les entreprises et les particuliers n'est plus nécessaire.La baisse du coût du travail autorise une augmentation des revenus pour les travailleurs. C'est la relance de la consommation et de la croissance et le chômage recule.
On tire la France et la population dans son ensemble vers le haut.
A gauche, il n'est pas question de faire des économies dans le budget de l’État, au contraire ! La croissance doit se faire par l'assistanat de "l’État providence". Cette "générosité avec de l'argent qu'on a pas" est donc financée par l'augmentation des impôts des entreprises, des "riches" et in fine, par les impôts de tout le monde ! L'idéologie prévaut sur la réalité sociale et économique.
François Hollande en parle...
mais de façon subliminale, dans ce flou qu'il affectionne.
La gauche au pouvoir sait que les ménages français sont prévoyants et à ce titre qu'ils détiennent un matelas de 11.000 milliards d'euros d'épargne (source La Tribune). Grâce à la protection des salaires, des retraites, de la protection sociale voulue par Nicolas Sarkozy, l'épargne des français a atteint en 2011 son record depuis 1983.
Quelle aubaine pour les gaspillages gouvernementaux annoncés par François Hollande ! « Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme » disait Lavoisier, guillotiné sous la Terreur révolutionnaire... Gageons que ce nouveau gouvernement dogmatique saura ponctionner l'épargne populaire par l'émission d'un emprunt forcé!
En voici la définition claire fournie par Wikipedia: "Un emprunt forcé ou emprunt obligatoire est un emprunt imposé par l'État à tout ou partie de la population. Il est forcé car imposé généralement à des conditions désavantageuses aux emprunteurs, qui ne prêteraient pas sans cela. Il s'agit donc souvent d'une forme déguisée d'imposition selon des critères arbitraires choisis par les hommes de l'État. Le moins qu'on puisse dire, c'est que ce n'est en rien une mesure libérale.
Prenons l'exemple d'un emprunt forcé rémunéré à un taux d'intérêt de 0,5%. Si l'inflation est à 2%, chaque année le prêteur s'appauvrira des 1,5% de différence entre les deux taux. En outre, s'ajoute la possibilité de ne jamais être remboursés, les emprunts forcés étant généralement imposés dans des circonstances difficiles pour les États qui les votent et pouvant très bien faire faillite ou décider de ne jamais rembourser leurs dettes."
Participer ainsi au sauvetage par la relance de notre économie aurait pu être un honneur avec Sarkozy. A contrario, confier notre épargne à François Hollande et ses fossoyeurs devient l'ultime sacrifice à l'utopie socialiste...
On prend aux uns pour donner aux autres et continuer de dépenser plus qu'on ne gagne. On oblige les entreprises à licencier sous le poids des charges accrues. Notre épargne fond comme neige au soleil et les pauvres sont encore plus pauvres. Chômage, baisse du pouvoir d’achat, baisse de la consommation, hausse du surendettement, etc... C'est la récession. On nivelle la France par le bas.
Avec la misère, la pauvreté et le sentiment d'injustice arrive l'instabilité politique et son cortège d'idéologies extrémistes. Finalement quel autoritarisme risque de dominer l'autre comme chez nos voisins, dans cette France défaite, Communisme ou Fascisme ?
Les prochaines élections législatives pour donner une majorité à l’UMP contre la coalition de gauche offrent à la France sa dernière bouée de sauvetage ! Pas d’état d’âme, la composition du gouvernement de Jean Marc Ayrault n’est que provisoire pour nous endormir…Après tout dans l'ensemble, vus de loin, ils n'ont pas l'air bien méchants ces socialistes. Monsieur Ayrault semble plus avenant que d'autres "tricératops du PS" comme les appelle avec humour Marine Le Pen, moins menaçant apparemment que les mammouths du FG et EELV ...
Ne vous y trompez pas, les fanatiques les vrais, arriveront au gouvernement, après les législatives si nous ne leur barrons pas la route en votant massivement les 10 et 17 juin 2012 pour l'UMP.
En conclusion...tous à vos agendas !
L'électorat de Nicolas Sarkozy au second tour exprime majoritairement un vote d'adhésion, affirmant son «envie qu'il soit président» (54 %) et non pas «pour barrer la route à François Hollande» (46 %). Les électeurs de François Hollande déclarent majoritairement (55 % des citations) «barrer la route à Nicolas Sarkozy» est la principale raison de voter en sa faveur.
Le SarkoBashing a eu raison de la Raison. Ils s'y sont tous mis avec leur propagande systématique martelée durant cinq ans, socialistes, extrémistes de gauche comme de droite... Ils ont gagné...Nicolas Sarkozy, le mal aimé par certains, celui que les autres ne peuvent qu'honorer est parti.
Et c'est aujourd'hui, François Hollande qui préside au destin de la France.
Et pourtant...
Une récente enquête de l'INSEE avait révélé qu'en avril 2012 , la situation financière des ménages est en amélioration, le niveau de vie en France en légère progression l'opportunité d’épargner est en forte hausse, la confiance a été en hausse de 7 points depuis novembre 2011. Ce bilan est à ajouter aux réussites remarquables du président Nicolas Sarkozy dans un contexte de crises d'une exceptionnelle violence et brutalité.
On est donc en droit de se demander, à qui profite l'imposture ?
Si les deux tendances de droite et de gauche, s'accordent sur la nécessité de relancer la croissance par la relance de la consommation, leurs méthodes respectives sont radicalement différentes :
A droite, la croissance est jugée impossible si on ne limite et ne réduit pas les dépenses de l’État, la gestion du budget national se veut vertueuse. Et ainsi l'augmentation des impôts sur les entreprises et les particuliers n'est plus nécessaire.La baisse du coût du travail autorise une augmentation des revenus pour les travailleurs. C'est la relance de la consommation et de la croissance et le chômage recule.
On tire la France et la population dans son ensemble vers le haut.
A gauche, il n'est pas question de faire des économies dans le budget de l’État, au contraire ! La croissance doit se faire par l'assistanat de "l’État providence". Cette "générosité avec de l'argent qu'on a pas" est donc financée par l'augmentation des impôts des entreprises, des "riches" et in fine, par les impôts de tout le monde ! L'idéologie prévaut sur la réalité sociale et économique.
François Hollande en parle...
mais de façon subliminale, dans ce flou qu'il affectionne.
La gauche au pouvoir sait que les ménages français sont prévoyants et à ce titre qu'ils détiennent un matelas de 11.000 milliards d'euros d'épargne (source La Tribune). Grâce à la protection des salaires, des retraites, de la protection sociale voulue par Nicolas Sarkozy, l'épargne des français a atteint en 2011 son record depuis 1983.
Quelle aubaine pour les gaspillages gouvernementaux annoncés par François Hollande ! « Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme » disait Lavoisier, guillotiné sous la Terreur révolutionnaire... Gageons que ce nouveau gouvernement dogmatique saura ponctionner l'épargne populaire par l'émission d'un emprunt forcé!
En voici la définition claire fournie par Wikipedia: "Un emprunt forcé ou emprunt obligatoire est un emprunt imposé par l'État à tout ou partie de la population. Il est forcé car imposé généralement à des conditions désavantageuses aux emprunteurs, qui ne prêteraient pas sans cela. Il s'agit donc souvent d'une forme déguisée d'imposition selon des critères arbitraires choisis par les hommes de l'État. Le moins qu'on puisse dire, c'est que ce n'est en rien une mesure libérale.
Prenons l'exemple d'un emprunt forcé rémunéré à un taux d'intérêt de 0,5%. Si l'inflation est à 2%, chaque année le prêteur s'appauvrira des 1,5% de différence entre les deux taux. En outre, s'ajoute la possibilité de ne jamais être remboursés, les emprunts forcés étant généralement imposés dans des circonstances difficiles pour les États qui les votent et pouvant très bien faire faillite ou décider de ne jamais rembourser leurs dettes."
Participer ainsi au sauvetage par la relance de notre économie aurait pu être un honneur avec Sarkozy. A contrario, confier notre épargne à François Hollande et ses fossoyeurs devient l'ultime sacrifice à l'utopie socialiste...
On prend aux uns pour donner aux autres et continuer de dépenser plus qu'on ne gagne. On oblige les entreprises à licencier sous le poids des charges accrues. Notre épargne fond comme neige au soleil et les pauvres sont encore plus pauvres. Chômage, baisse du pouvoir d’achat, baisse de la consommation, hausse du surendettement, etc... C'est la récession. On nivelle la France par le bas.
Avec la misère, la pauvreté et le sentiment d'injustice arrive l'instabilité politique et son cortège d'idéologies extrémistes. Finalement quel autoritarisme risque de dominer l'autre comme chez nos voisins, dans cette France défaite, Communisme ou Fascisme ?
Les prochaines élections législatives pour donner une majorité à l’UMP contre la coalition de gauche offrent à la France sa dernière bouée de sauvetage ! Pas d’état d’âme, la composition du gouvernement de Jean Marc Ayrault n’est que provisoire pour nous endormir…Après tout dans l'ensemble, vus de loin, ils n'ont pas l'air bien méchants ces socialistes. Monsieur Ayrault semble plus avenant que d'autres "tricératops du PS" comme les appelle avec humour Marine Le Pen, moins menaçant apparemment que les mammouths du FG et EELV ...
Ne vous y trompez pas, les fanatiques les vrais, arriveront au gouvernement, après les législatives si nous ne leur barrons pas la route en votant massivement les 10 et 17 juin 2012 pour l'UMP.
En conclusion...tous à vos agendas !
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