JO 2024 _ Imane Khelif, un champion « Canada Dry »
Mer 7 Aoû - 22:09
Imane Khelif est gracieux comme une femme, son nom s’écrit comme celui d’une femme, son histoire est belle comme celle une femme… mais ce n'est pas une femme !
Ce garçon efféminé ou « fille hyperandrogénique » est en finale de boxe féminine aux JO 2024 et la polémique qui en découle illustre à merveille l’incapacité idéologique de choisir entre Science et croyance, entre Raison et empirisme, entre Ethique et politique. Et si pour régler le problème et éviter les injustices, les autorités s’inspiraient du pragmatisme musulman ?
Rien de bien original quand le Wokisme ambiant remplace le Savoir. Rien de surprenant alors que le CIO _Comité International Olympique_ a exclu la Russie des JO 2024, qu’il soit en désaccord avec la FIBA ou IBA _Fédération Internationale de Boxe Amateur_ dirigée par un Russe. Et surtout rien de bien grave si la compétition féminine de boxe ne virait pas sur le ring, au concours de ‘violences faites aux femmes’ organisé par la plus haute instance du sport international !
Ainsi, l'Algérien Imane Khelif et le Taïwanais Lin Yuting qui avaient été exclus des Mondiaux de boxe, arrivent donc en finale des épreuves féminines de boxe. Or les tests ADN et de testostérone (hormone mâle) demandés par la Commission médicale de la FIBA - en 2022 à Istanbul révélaient « des anomalies ». De nouvelles analyses biologiques ont donc été réalisées à New Delhi en 2023. Il en ressort que ces athlètes possèdent dans leur caryotype, le chromosome (Y) exclusivement masculin, lit-on par exemple dans La Dépêche du 6/08/24 > https://www.ladepeche.fr/2024/08/06/jo-2024-hyperandrogenie-les-tests-sanguins-montrent-que-ces-deux-boxeuses-sont-des-hommes-la-declaration-choc-de-la-federation-internationale-12126793.php
Ces résultats d’analyse biologique sont démentis par l’Algérie et contestés par le CIO au prétexte qu’Imane Khelif serait « né femme, enregistré comme femme, vit en femme, boxe en tant que femme ».
Depuis la découverte du chromosome (Y) il y a plus d’un siècle, la science n’admet que 2 sexes masculin ou féminin dans l’espèce humaine.
En revanche, à partir de la puberté, l’islam qui prône le strict isolement entre les sexes, a créé dans sa jurisprudence l’existence d’un troisième statut, le khuntha mi-homme mi-femme (très apprécié dans les harems) ; Ceci essentiellement pour gérer les successions et résoudre le problème de la toilette funéraire (qui en ce cas se fait à travers les vêtements du défunt) comme l’explique sur Droit et Culture, l’ anthropologue Corinne Fortier chargée de recherche au CNRS > https://journals.openedition.org/droitcultures/6763
En pratique, pour calculer les différentes parts, le khuntha hérite de la moitié d’un homme plus la moitié d’une femme (qui n’hérite déjà que de la moitié d’un homme du même degré de parenté), le reste allant à des membres de la famille de sexe masculin, même éloignés.
Pour résumer, moins qu’un homme mais plus qu’une femme, une bonne nouvelle pour Imane Khelif !
Sportivement, il n’est pas concevable d’exclure des compétitions ces athlètes porteurs du chromosome(Y) frappés d’anomalie génétique. S’agissant d’une étrangeté imposée par une nature facétieuse, ils méritent plus notre attention qu’une quelconque condamnation.
Via le Figaro du 2/08/24,la boxeuse internationale française Emilie Sonvico (vaincue par Imane Khelif en finale de la World Boxing Cup 5-0) témoigne qu’à ce top-niveau, les femmes s’entrainent toutes avec « des hommes qui se contrôlent »
Compte tenu du nombre grandissant de ces cas dans toutes les disciplines olympiques, sachant que les jeux paralympiques ont pour objectif de, je cite l’ACA, faire concourir ensemble des athlètes ayant des aptitudes fonctionnelles comparables… peut-être faudrait-il créer une catégorie pour khuntahs ?
Déontologiquement et humainement, il est inadmissible de mettre une boxeuse (XX) en danger comme en témoigne les abandons successifs de femmes qui affrontent des athlètes masculins. La présence du chromosome (Y) dans le caryotype d’un athlète détermine non seulement son sexe masculin (organe reproducteur atrophié ou pas) mais aussi une production de testostérone à la Arnold Schwarzenegger en moyenne sept à huit fois plus élevée que chez la femme ! Outre la musculature, (Y) impacte tous les organes, cerveau compris. A l’inverse, jamais une athlète (XX) ne participera aux épreuves masculines du plus haut niveau, sous prétexte qu'elle se sent « homme », à moins d’avoir des tendances masochistes ou suicidaires. Ne pas en tenir compte relève de l’escroquerie.
Selon l’ONU, chaque année au niveau mondial il y aurait près de 1,7 % de naissances dites hermaphrodites, intersexes, non binaires, etc. quel que soit le vocabulaire en vogue. Néanmoins faut-il le répéter, la paire de chromosomes (XY) exclusivement masculine ou (XX) exclusivement féminine reste implacable simplement parce qu’il n’en existe pas d’autres dans l’espèce humaine
Sauf… syndrome maladif rarissime de Jacob, Klinefelter, Turner, etc. Or les hommes dont on parle ici ne sont pas « malades » Ils sont différents et frappent fort. Ils frappent d’autant plus fort qu’une médaille olympique est en jeu !
Le CIO met le sport féminin gravement en péril par ses décisions arbitraires « prises par des hommes qui décident pour les femmes » comme le souligne Emilie Sonvico, obligées de rivaliser avec khuntahs et même transsexuels (XY). Il est urgent que cette organisation change de logiciel et mette son esprit en mouvement conformément à la devise paralympique « Spirit in motion » !
Ce garçon efféminé ou « fille hyperandrogénique » est en finale de boxe féminine aux JO 2024 et la polémique qui en découle illustre à merveille l’incapacité idéologique de choisir entre Science et croyance, entre Raison et empirisme, entre Ethique et politique. Et si pour régler le problème et éviter les injustices, les autorités s’inspiraient du pragmatisme musulman ?
Rien de bien original quand le Wokisme ambiant remplace le Savoir. Rien de surprenant alors que le CIO _Comité International Olympique_ a exclu la Russie des JO 2024, qu’il soit en désaccord avec la FIBA ou IBA _Fédération Internationale de Boxe Amateur_ dirigée par un Russe. Et surtout rien de bien grave si la compétition féminine de boxe ne virait pas sur le ring, au concours de ‘violences faites aux femmes’ organisé par la plus haute instance du sport international !
Ainsi, l'Algérien Imane Khelif et le Taïwanais Lin Yuting qui avaient été exclus des Mondiaux de boxe, arrivent donc en finale des épreuves féminines de boxe. Or les tests ADN et de testostérone (hormone mâle) demandés par la Commission médicale de la FIBA - en 2022 à Istanbul révélaient « des anomalies ». De nouvelles analyses biologiques ont donc été réalisées à New Delhi en 2023. Il en ressort que ces athlètes possèdent dans leur caryotype, le chromosome (Y) exclusivement masculin, lit-on par exemple dans La Dépêche du 6/08/24 > https://www.ladepeche.fr/2024/08/06/jo-2024-hyperandrogenie-les-tests-sanguins-montrent-que-ces-deux-boxeuses-sont-des-hommes-la-declaration-choc-de-la-federation-internationale-12126793.php
Ces résultats d’analyse biologique sont démentis par l’Algérie et contestés par le CIO au prétexte qu’Imane Khelif serait « né femme, enregistré comme femme, vit en femme, boxe en tant que femme ».
Depuis la découverte du chromosome (Y) il y a plus d’un siècle, la science n’admet que 2 sexes masculin ou féminin dans l’espèce humaine.
En revanche, à partir de la puberté, l’islam qui prône le strict isolement entre les sexes, a créé dans sa jurisprudence l’existence d’un troisième statut, le khuntha mi-homme mi-femme (très apprécié dans les harems) ; Ceci essentiellement pour gérer les successions et résoudre le problème de la toilette funéraire (qui en ce cas se fait à travers les vêtements du défunt) comme l’explique sur Droit et Culture, l’ anthropologue Corinne Fortier chargée de recherche au CNRS > https://journals.openedition.org/droitcultures/6763
En pratique, pour calculer les différentes parts, le khuntha hérite de la moitié d’un homme plus la moitié d’une femme (qui n’hérite déjà que de la moitié d’un homme du même degré de parenté), le reste allant à des membres de la famille de sexe masculin, même éloignés.
Pour résumer, moins qu’un homme mais plus qu’une femme, une bonne nouvelle pour Imane Khelif !
Sportivement, il n’est pas concevable d’exclure des compétitions ces athlètes porteurs du chromosome(Y) frappés d’anomalie génétique. S’agissant d’une étrangeté imposée par une nature facétieuse, ils méritent plus notre attention qu’une quelconque condamnation.
Via le Figaro du 2/08/24,la boxeuse internationale française Emilie Sonvico (vaincue par Imane Khelif en finale de la World Boxing Cup 5-0) témoigne qu’à ce top-niveau, les femmes s’entrainent toutes avec « des hommes qui se contrôlent »
Compte tenu du nombre grandissant de ces cas dans toutes les disciplines olympiques, sachant que les jeux paralympiques ont pour objectif de, je cite l’ACA, faire concourir ensemble des athlètes ayant des aptitudes fonctionnelles comparables… peut-être faudrait-il créer une catégorie pour khuntahs ?
Déontologiquement et humainement, il est inadmissible de mettre une boxeuse (XX) en danger comme en témoigne les abandons successifs de femmes qui affrontent des athlètes masculins. La présence du chromosome (Y) dans le caryotype d’un athlète détermine non seulement son sexe masculin (organe reproducteur atrophié ou pas) mais aussi une production de testostérone à la Arnold Schwarzenegger en moyenne sept à huit fois plus élevée que chez la femme ! Outre la musculature, (Y) impacte tous les organes, cerveau compris. A l’inverse, jamais une athlète (XX) ne participera aux épreuves masculines du plus haut niveau, sous prétexte qu'elle se sent « homme », à moins d’avoir des tendances masochistes ou suicidaires. Ne pas en tenir compte relève de l’escroquerie.
Selon l’ONU, chaque année au niveau mondial il y aurait près de 1,7 % de naissances dites hermaphrodites, intersexes, non binaires, etc. quel que soit le vocabulaire en vogue. Néanmoins faut-il le répéter, la paire de chromosomes (XY) exclusivement masculine ou (XX) exclusivement féminine reste implacable simplement parce qu’il n’en existe pas d’autres dans l’espèce humaine
Sauf… syndrome maladif rarissime de Jacob, Klinefelter, Turner, etc. Or les hommes dont on parle ici ne sont pas « malades » Ils sont différents et frappent fort. Ils frappent d’autant plus fort qu’une médaille olympique est en jeu !
Le CIO met le sport féminin gravement en péril par ses décisions arbitraires « prises par des hommes qui décident pour les femmes » comme le souligne Emilie Sonvico, obligées de rivaliser avec khuntahs et même transsexuels (XY). Il est urgent que cette organisation change de logiciel et mette son esprit en mouvement conformément à la devise paralympique « Spirit in motion » !
Re: JO 2024 _ Imane Khelif, un champion « Canada Dry »
Mer 7 Aoû - 23:59
https://www.youtube.com/watch?v=jrODpZ-g_nc
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