Qui veut casser des Fillon ?
Pour atteindre le candidat à la présidentielle qui leur faisait de l’ombre, ils ont accusé son épouse, officiellement et légalement enregistrée pendant 15 ans à l’Assemblée Nationale comme assistante parlementaire, d’avoir été il y a trente ans payée à ne « rien faire ». Madame Fillon serait juste bonne à mijoter des confitures selon le « Canard enchaîné » dans son « château » de Sablé sur Sarthe.
Fictifs les 900 000 € !
Donc « Penelope aurait perçu plus de 900 000 € » titrent les journaux à l’instar des calomnies du palmipède. En réalité, en 15 ans (1986-1990 puis 1998-2007 puis 2012-2013) d’emploi officiel, déclaré, enregistré, impôts acquittés, Penelope reçu de ses députés-employeurs 623 580 € net (831 440 € brut). Avec son salaire de 3677 € net et un taux d’imposition de 30%, il lui restait 2574 € par mois et peu de temps pour « ses confitures ».
Rappelons que dans la période concernée, son mari assure en province les fonctions de Conseiller général, Député de la Sarthe, Président du conseil général de la Sarthe, Président du conseil régional des Pays de la Loire, Sénateur de la Sarthe...puis en 2012 à nouveau député à Paris.
Penelope a mis à profit ses diplômes et compétences au service de son mari. Car, non seulement elle est avocate mais elle vit à la « permanence ». Entre la réception téléphonique et des citoyens sollicitant une entrevue avec l’élu, la tenue de l’agenda, la représentation... difficile d’énumérer les tâches confiées à la juriste, tant elles sont nombreuses et varient en fonction des besoins. Compte tenu de son amour de la région, de ses compétences professionnelles, de sa discrétion et de leur intimité, la collaboration de Penelope avec le député Fillon n’en est que plus précieuse. Elle connait si bien le terrain que le suppléant n’hésitera pas à l’embaucher à son tour.
Fictif le « château »
On s’étonne que François Fillon fasse tenir sa permanence au domicile familial, c’est pourtant économiquement raisonnable, pratique bien que contraignant pour Penelope et chaleureux pour le visiteur, les Fillon ont une si jolie maison... Au passage, on fera remarquer aux jaloux que, le prix du m² haut de gamme (1 455 €) dans la région est 10 fois inférieur au même m² classieux (13 237 €) dans la capitale tous secteurs parisiens confondus. 500 m² de prestige à Sablé sur Sarthe valent 50 m² bourgeois à Paris. Et oui, c’est bien connu, le bonheur est dans le pré.
En revanche, les imprécateurs tairont bien sûr l’usage des indemnités que certains ont fait de l’argent du contribuable : ils ont acheté à Paris ou en province leurs permanence (boutique ou appartement) et conservent ainsi au-delà de leur mandat, un patrimoine immobilier personnel ! Jusqu’en 2015, cet argent n’appartenant plus à l’État, les parlementaires se sentaient libres de l’utiliser à leur guise. Le Figaro cite des exemples : Jean-Jacques Urvoas (PS) Bernard Depierre (UMP), Pascal Terrasse (PS), Jean Lassalle (MoDem), les UDI François Sauvadet et Jean-Christophe Lagarde ou encore les anciens sénateurs Jean-Luc Mélenchon (PG) et Hélène Lipietz (EEVL)...
Rappelons que dans la période concernée, son mari assure en province les fonctions de Conseiller général, Député de la Sarthe, Président du conseil général de la Sarthe, Président du conseil régional des Pays de la Loire, Sénateur de la Sarthe...puis en 2012 à nouveau député à Paris.
Penelope a mis à profit ses diplômes et compétences au service de son mari. Car, non seulement elle est avocate mais elle vit à la « permanence ». Entre la réception téléphonique et des citoyens sollicitant une entrevue avec l’élu, la tenue de l’agenda, la représentation... difficile d’énumérer les tâches confiées à la juriste, tant elles sont nombreuses et varient en fonction des besoins. Compte tenu de son amour de la région, de ses compétences professionnelles, de sa discrétion et de leur intimité, la collaboration de Penelope avec le député Fillon n’en est que plus précieuse. Elle connait si bien le terrain que le suppléant n’hésitera pas à l’embaucher à son tour.
Un bénévolat complice pendant plus de 20 ans
Il se marient en 1980, lui a 26 ans, elle en a 24. Un an plus tard, François est élu ; c’est le benjamin de l’Assemblée nationale. Ainsi dans les faits, cela fait plus de 36 ans que Penelope accompagne fidèlement son époux dans sa carrière menée tambour battant au service de la France.
Loin des sunlights et des bruits de couloirs, avec discrétion et élégance, cette juriste et avocate se met au service de ses concitoyens pour son mari, supportant - au sens noble du terme - ses fonctions de député et conseiller général de la Sarthe, président de la commission de la Défense de l'Assemblée nationale, président du conseil général de la Sarthe, ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche, ministre des Technologies de l'Information et de la Poste, président du conseil régional des Pays de la Loire, Ministre des Affaires sociales, du Travail et de la Solidarité, Ministre de l'Éducation nationale, de l'Enseignement supérieur et de la Recherche Sénateur de la Sarthe, Premier ministre français (et pendant deux mois Ministre de l'Écologie, du Développement durable, des Transports et du Logement) Président du groupe Rassemblement -UMP à l'Assemblée nationale et Député de la 2ème circonscription de Paris…
Une famille comme on les aime
Penelope assure dans le même temps, sa responsabilité de mère de famille nombreuse. Cinq enfants dont le couple s’occupe si bien que mis à part le petit dernier qui poursuit encore sa scolarité, ils ont tous aujourd’hui des jobs tout à fait honorables. Les deux aînés avocats ont d’ailleurs aussi contribué au travail du parlementaire Fillon pour un salaire de 3000 € chacun. A noter qu’aucun des cinq n’a jamais fait de prison. On ne peut malheureusement en dire autant de la progéniture de cette fameuse gauche morale Taubira, Touraine, Fabius, Fourneyron pour ne citer qu’eux.
Pendant les 27 premières années essentiellement sarthoises de 1980 à 2007 puis à nouveau en 2012, Penelope est fatalement mise à contribution et pas qu'un peu... et tant pis pour les confitures !
Pensez-vous que si Madame Fillon était invisible, inaudible, retranchée, inutile à son mari, voire nunuche, bref « inexistante » comme le prétendent les mauvaises langues, François aurait été élu, réélu en Province d’abord, puis à Paris, désigné tant de fois y compris aux plus hautes fonctions de l’État pour finalement être le favori de la prochaine élection présidentielle ?
Calculette @LaMutineFictifs les 900 000 € !
Donc « Penelope aurait perçu plus de 900 000 € » titrent les journaux à l’instar des calomnies du palmipède. En réalité, en 15 ans (1986-1990 puis 1998-2007 puis 2012-2013) d’emploi officiel, déclaré, enregistré, impôts acquittés, Penelope reçu de ses députés-employeurs 623 580 € net (831 440 € brut). Avec son salaire de 3677 € net et un taux d’imposition de 30%, il lui restait 2574 € par mois et peu de temps pour « ses confitures ».
Rappelons que dans la période concernée, son mari assure en province les fonctions de Conseiller général, Député de la Sarthe, Président du conseil général de la Sarthe, Président du conseil régional des Pays de la Loire, Sénateur de la Sarthe...puis en 2012 à nouveau député à Paris.
Penelope a mis à profit ses diplômes et compétences au service de son mari. Car, non seulement elle est avocate mais elle vit à la « permanence ». Entre la réception téléphonique et des citoyens sollicitant une entrevue avec l’élu, la tenue de l’agenda, la représentation... difficile d’énumérer les tâches confiées à la juriste, tant elles sont nombreuses et varient en fonction des besoins. Compte tenu de son amour de la région, de ses compétences professionnelles, de sa discrétion et de leur intimité, la collaboration de Penelope avec le député Fillon n’en est que plus précieuse. Elle connait si bien le terrain que le suppléant n’hésitera pas à l’embaucher à son tour.
Fictif le « château »
On s’étonne que François Fillon fasse tenir sa permanence au domicile familial, c’est pourtant économiquement raisonnable, pratique bien que contraignant pour Penelope et chaleureux pour le visiteur, les Fillon ont une si jolie maison... Au passage, on fera remarquer aux jaloux que, le prix du m² haut de gamme (1 455 €) dans la région est 10 fois inférieur au même m² classieux (13 237 €) dans la capitale tous secteurs parisiens confondus. 500 m² de prestige à Sablé sur Sarthe valent 50 m² bourgeois à Paris. Et oui, c’est bien connu, le bonheur est dans le pré.
En revanche, les imprécateurs tairont bien sûr l’usage des indemnités que certains ont fait de l’argent du contribuable : ils ont acheté à Paris ou en province leurs permanence (boutique ou appartement) et conservent ainsi au-delà de leur mandat, un patrimoine immobilier personnel ! Jusqu’en 2015, cet argent n’appartenant plus à l’État, les parlementaires se sentaient libres de l’utiliser à leur guise. Le Figaro cite des exemples : Jean-Jacques Urvoas (PS) Bernard Depierre (UMP), Pascal Terrasse (PS), Jean Lassalle (MoDem), les UDI François Sauvadet et Jean-Christophe Lagarde ou encore les anciens sénateurs Jean-Luc Mélenchon (PG) et Hélène Lipietz (EEVL)...
Rappelons que dans la période concernée, son mari assure en province les fonctions de Conseiller général, Député de la Sarthe, Président du conseil général de la Sarthe, Président du conseil régional des Pays de la Loire, Sénateur de la Sarthe...puis en 2012 à nouveau député à Paris.
Penelope a mis à profit ses diplômes et compétences au service de son mari. Car, non seulement elle est avocate mais elle vit à la « permanence ». Entre la réception téléphonique et des citoyens sollicitant une entrevue avec l’élu, la tenue de l’agenda, la représentation... difficile d’énumérer les tâches confiées à la juriste, tant elles sont nombreuses et varient en fonction des besoins. Compte tenu de son amour de la région, de ses compétences professionnelles, de sa discrétion et de leur intimité, la collaboration de Penelope avec le député Fillon n’en est que plus précieuse. Elle connait si bien le terrain que le suppléant n’hésitera pas à l’embaucher à son tour.
Un bénévolat complice pendant plus de 20 ans
Il se marient en 1980, lui a 26 ans, elle en a 24. Un an plus tard, François est élu ; c’est le benjamin de l’Assemblée nationale. Ainsi dans les faits, cela fait plus de 36 ans que Penelope accompagne fidèlement son époux dans sa carrière menée tambour battant au service de la France.
Loin des sunlights et des bruits de couloirs, avec discrétion et élégance, cette juriste et avocate se met au service de ses concitoyens pour son mari, supportant - au sens noble du terme - ses fonctions de député et conseiller général de la Sarthe, président de la commission de la Défense de l'Assemblée nationale, président du conseil général de la Sarthe, ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche, ministre des Technologies de l'Information et de la Poste, président du conseil régional des Pays de la Loire, Ministre des Affaires sociales, du Travail et de la Solidarité, Ministre de l'Éducation nationale, de l'Enseignement supérieur et de la Recherche Sénateur de la Sarthe, Premier ministre français (et pendant deux mois Ministre de l'Écologie, du Développement durable, des Transports et du Logement) Président du groupe Rassemblement -UMP à l'Assemblée nationale et Député de la 2ème circonscription de Paris…
Une famille comme on les aime
Penelope assure dans le même temps, sa responsabilité de mère de famille nombreuse. Cinq enfants dont le couple s’occupe si bien que mis à part le petit dernier qui poursuit encore sa scolarité, ils ont tous aujourd’hui des jobs tout à fait honorables. Les deux aînés avocats ont d’ailleurs aussi contribué au travail du parlementaire Fillon pour un salaire de 3000 € chacun. A noter qu’aucun des cinq n’a jamais fait de prison. On ne peut malheureusement en dire autant de la progéniture de cette fameuse gauche morale Taubira, Touraine, Fabius, Fourneyron pour ne citer qu’eux.
Pendant les 27 premières années essentiellement sarthoises de 1980 à 2007 puis à nouveau en 2012, Penelope est fatalement mise à contribution et pas qu'un peu... et tant pis pour les confitures !
Pensez-vous que si Madame Fillon était invisible, inaudible, retranchée, inutile à son mari, voire nunuche, bref « inexistante » comme le prétendent les mauvaises langues, François aurait été élu, réélu en Province d’abord, puis à Paris, désigné tant de fois y compris aux plus hautes fonctions de l’État pour finalement être le favori de la prochaine élection présidentielle ?
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