Mon frère, ce converti de Bruxelles
Lun 23 Nov - 21:14
Mon frère, ce converti de Bruxelles
Cette confidence à l'attention des familles françaises qui ne comprennent pas la conversion de leurs enfants encore moins leur radicalisation.
Les secousses islamistes dans Bruxelles désertée et envahie par les blindés m'ont fourni le prétexte de savoir où en est Vincent mon frère récemment converti à l’islam et sa petite famille, et surtout s’ils sont en sécurité. Nos liens du sang m'ont permis d’entrouvrir une porte: deux heures au téléphone pour comprendre un peu mieux ces musulmans européens dépassés par les drames actuels, ceux qui nous serinent contre toute logique que "le terrorisme islamique n’a rien à voir avec l’Islam."
Concernant son environnement familial: il est le petit dernier d’une fratrie de quatre enfants d’une famille catholique pratiquante, à l’évidence tolérante et ouverte sur le monde. Tous éduqués dans des écoles chrétiennes, nous avons été élevés par des parents responsables et vigilants : notre père ce héros aujourd'hui disparu, passionné d’Histoire contemporaine, maire de sa commune au service de ses administrés et médecin jour et nuit au service de ses patients, notre "mère au foyer" enseignante avant son mariage, outre la gastronomie, nous a appris avec autorité la bienséance, l’ordre et le respect. Service, générosité, tolérance réfléchie et compassion ont bercé notre enfance. Voilà en quoi a consisté notre éducation chrétienne, celle de mon converti de frère.
Plus tard, alors jeune étudiant, mon frère doit surmonter successivement deux violents traumatismes. Il perd la foi, quitte la France, est diplômé en Belgique et s’installe à Bruxelles. Il y rencontre une musulmane qui a le mérite de partager les qualités évoquées de notre mère et qui deviendra son épouse (Ils évitent ainsi l’expulsion vers son Maghreb natal à la fin de ses études). L’accueil gentil par la famille marocaine qui lui assure "tu es notre fils", son amour pour ce Maroc qu’il découvre, et la fréquentation d’amis musulmans pousseront mon frère à s’intéresser à l’islam de ces gens, l'estimant "très proche de sa culture chrétienne". C’est donc en tant que baptisé devenu athée mais toujours respectueux des croyances des autres, et non en tant que catholique qu’il finira par se convertir à l’islam comme d’autres suivent leur conjoint dans un militantisme aveugle... ou dans une secte !
Question lancinante : comment un gamin issu d’une famille profondément catholique, élevé chez les Frères, qui se croit abandonné de Dieu le Père, se prétend désormais athée, peut-il aujourd’hui me réciter la Fatiha en arabe ? Malaise (je sais ce que dit cette prière musulmane !) Vincent me soutient que l’islam "religion d’amour comme le christianisme" le rend heureux. Pour moi, c'est l'essentiel. Pourtant j’ai de l’islam une expérience inverse à la sienne : islamo-réaliste après en avoir étudié les fondamentaux mahométans, je suis en guerre contre ce que je sais être une idéologie politico-religieuse sectaire et liberticide, terreau de la barbarie que nous observons à grande échelle avec l’État islamique. Il ne peut évidemment pas l’entendre, aussi vais-je le bousculer dans ses retranchements.
Comme je suis convaincue qu’on ne peut passer intellectuellement et spirituellement du Christianisme à l’Islam, je lui demande s’il a lu le coran. Comme la quasi-totalité des musulmans surtout en Occident, après m’avoir certifié le contraire, il m’avoue avoir abandonné cette lecture (particulièrement indigeste pour un esprit cartésien occidental), n'y comprenant rien et ne parlant ni ne lisant pas arabe.
"J'ai une autre version du coran qui me convient. C'est 'Le Noble Coran : traduction du sens de ses versets' par Mohamed Chiadmi" Je lui fais remarquer que "traduction du SENS des versets" n’est pas "traduction des versets" mais bien une interprétation occidentalisée. Il accepte alors de comparer nos versions respectives qui a priori se ressemblent bien que la terminologie de la sienne soit subtilement affadie. Par exemple au sujet des juifs et des chrétiens, dans Coran 9:30 "Qu’Allah les anéantisse" devient "Que Dieu les maudisse", Allah appelé "Dieu" alimente la confusion d’un chrétien converti de "bonne foi". Quant à la prétendue "miséricorde" d'Allah qui n'y transpire pas vraiment, ce verset perturbant ne sera pas commenté par mon musulman de petit frère…
"C’est après avoir regardé régulièrement l'émission 'Islam' sur France 2 que j’ai pris ma décision." me précise Vincent. (Sur un écran glissé au pied du lit chaque dimanche à 8h45 par sa tendre épouse ? Je n’ose lui poser la question) Je ne vais plus à la mosquée parce que les prêches ne me conviennent pas. (Tiens, tiens trop éloignés de sa conception chrétienne de l'islam ?) Non je ne suis pas barbu. Ma femme ne se voile que dans l’intimité pour la prière. Oui, j’ai un tapis mais je remercie aussi "Dieu" en jardinant. Oui nous faisons le ramadan." Lui si gourmet gourmand ne mange plus de porc et ne boit plus une goutte d’alcool mais en offre à ses invités. Ses fils (dans une école catholique) "seront libres de choisir ou pas." Je n’apprendrai pas si mes neveux prient Allah ou Dieu le Père... Terminé le traditionnel Noël familial en Alsace.
Sait-il que l’objectif de l’islam est de convertir l’humanité entière ? "Évidemment !" me répond-il enthousiaste "Mais pas comme le font les terroristes. L’état islamique, le califat n’existe pas. Ce sont des fous qui n’ont rien à voir avec l’islam. Il faut replacer le coran dans son contexte historique et ne pas s’attacher aux versions traduites de l’arabe…" Bref c’est un grand classique de l’islamisation: le musulman s’estime incapable de penser par lui-même. Soumis comme le veut l’islam, il ingurgitera les préceptes sans broncher, ce que d’autres, imams ou "savants" auront prémâché... Je lui glisse quand même qu’Allah lui-même interdit l’interprétation et la contextualisation "nul n'en connaît l'interprétation, à part Allah" (Coran 3:7) "Croyez-vous donc en une partie du Livre et rejetez-vous le reste ?" (Coran 2:85) Pas de commentaire...Bien sûr, il ne connait pas ces commandements pourtant explicites et répétés.
Je conclue notre échange en le taquinant "Finalement tu n’es pas musulman, tu es chiadmiste !" mais il a perdu tout sens de l'humour... In petto : pourvu qu’il n’aille jamais plus loin dans cette monstrueuse escroquerie... Je lui conseille une fois encore "Dans le doute, suis ton instinct, ce que te dicte ta conscience" (Une culture familiale chrétienne ne se renie pas en prononçant la shahâda, formule magique qui vous ferait passer de la Lumière à l’islam.)
"La République laïque a sous-estimé l'importance de l'aspiration spirituelle... l'instituteur ne pourra jamais remplacer le curé ou le pasteur."
Voilà comment les islamistes remplissent le vide spirituel entretenu par ces Ayatollahs d’une laïcité pervertie, anti-catholique et pro-charia, incultes et irresponsables qu’ils sont ! La foi catholique n'a pas été intégrée dans notre génération post soixante-huitarde. C’est un bug dans la transmission intergénérationnelle du christianisme, qu’il faut réparer de toute urgence sous peine de voir une partie de notre jeunesse en manque de repères rejoindre l’État islamique, quand l’autre redécouvre heureusement les vertus républicaines du service militaire.
Concernant les conversions et radicalisations dans les familles non musulmanes, contrairement à ce que les islamistes recruteurs du jihad prétendent, sachez que celles-ci sont très rares mais les plus comptabilisées car les plus "spectaculaires". En effet, ce sont les familles non musulmanes qui signalent aux autorités les dérives de leur progéniture avant qu'il ne soit trop tard, comme le révèle le rapport sur les filières du djihad d'Eric Ciotti et Patrick Menucci. Six mois d'enquête approfondie, 550 pages enregistrées le 2 juin 2015 à l'Assemblée Nationale que ce gouvernement à l'incompétence criminelle s'est empressé d'ignorer !
Calculette@LaMutineLes secousses islamistes dans Bruxelles désertée et envahie par les blindés m'ont fourni le prétexte de savoir où en est Vincent mon frère récemment converti à l’islam et sa petite famille, et surtout s’ils sont en sécurité. Nos liens du sang m'ont permis d’entrouvrir une porte: deux heures au téléphone pour comprendre un peu mieux ces musulmans européens dépassés par les drames actuels, ceux qui nous serinent contre toute logique que "le terrorisme islamique n’a rien à voir avec l’Islam."
Concernant son environnement familial: il est le petit dernier d’une fratrie de quatre enfants d’une famille catholique pratiquante, à l’évidence tolérante et ouverte sur le monde. Tous éduqués dans des écoles chrétiennes, nous avons été élevés par des parents responsables et vigilants : notre père ce héros aujourd'hui disparu, passionné d’Histoire contemporaine, maire de sa commune au service de ses administrés et médecin jour et nuit au service de ses patients, notre "mère au foyer" enseignante avant son mariage, outre la gastronomie, nous a appris avec autorité la bienséance, l’ordre et le respect. Service, générosité, tolérance réfléchie et compassion ont bercé notre enfance. Voilà en quoi a consisté notre éducation chrétienne, celle de mon converti de frère.
Plus tard, alors jeune étudiant, mon frère doit surmonter successivement deux violents traumatismes. Il perd la foi, quitte la France, est diplômé en Belgique et s’installe à Bruxelles. Il y rencontre une musulmane qui a le mérite de partager les qualités évoquées de notre mère et qui deviendra son épouse (Ils évitent ainsi l’expulsion vers son Maghreb natal à la fin de ses études). L’accueil gentil par la famille marocaine qui lui assure "tu es notre fils", son amour pour ce Maroc qu’il découvre, et la fréquentation d’amis musulmans pousseront mon frère à s’intéresser à l’islam de ces gens, l'estimant "très proche de sa culture chrétienne". C’est donc en tant que baptisé devenu athée mais toujours respectueux des croyances des autres, et non en tant que catholique qu’il finira par se convertir à l’islam comme d’autres suivent leur conjoint dans un militantisme aveugle... ou dans une secte !
Question lancinante : comment un gamin issu d’une famille profondément catholique, élevé chez les Frères, qui se croit abandonné de Dieu le Père, se prétend désormais athée, peut-il aujourd’hui me réciter la Fatiha en arabe ? Malaise (je sais ce que dit cette prière musulmane !) Vincent me soutient que l’islam "religion d’amour comme le christianisme" le rend heureux. Pour moi, c'est l'essentiel. Pourtant j’ai de l’islam une expérience inverse à la sienne : islamo-réaliste après en avoir étudié les fondamentaux mahométans, je suis en guerre contre ce que je sais être une idéologie politico-religieuse sectaire et liberticide, terreau de la barbarie que nous observons à grande échelle avec l’État islamique. Il ne peut évidemment pas l’entendre, aussi vais-je le bousculer dans ses retranchements.
Comme je suis convaincue qu’on ne peut passer intellectuellement et spirituellement du Christianisme à l’Islam, je lui demande s’il a lu le coran. Comme la quasi-totalité des musulmans surtout en Occident, après m’avoir certifié le contraire, il m’avoue avoir abandonné cette lecture (particulièrement indigeste pour un esprit cartésien occidental), n'y comprenant rien et ne parlant ni ne lisant pas arabe.
"J'ai une autre version du coran qui me convient. C'est 'Le Noble Coran : traduction du sens de ses versets' par Mohamed Chiadmi" Je lui fais remarquer que "traduction du SENS des versets" n’est pas "traduction des versets" mais bien une interprétation occidentalisée. Il accepte alors de comparer nos versions respectives qui a priori se ressemblent bien que la terminologie de la sienne soit subtilement affadie. Par exemple au sujet des juifs et des chrétiens, dans Coran 9:30 "Qu’Allah les anéantisse" devient "Que Dieu les maudisse", Allah appelé "Dieu" alimente la confusion d’un chrétien converti de "bonne foi". Quant à la prétendue "miséricorde" d'Allah qui n'y transpire pas vraiment, ce verset perturbant ne sera pas commenté par mon musulman de petit frère…
"C’est après avoir regardé régulièrement l'émission 'Islam' sur France 2 que j’ai pris ma décision." me précise Vincent. (Sur un écran glissé au pied du lit chaque dimanche à 8h45 par sa tendre épouse ? Je n’ose lui poser la question) Je ne vais plus à la mosquée parce que les prêches ne me conviennent pas. (Tiens, tiens trop éloignés de sa conception chrétienne de l'islam ?) Non je ne suis pas barbu. Ma femme ne se voile que dans l’intimité pour la prière. Oui, j’ai un tapis mais je remercie aussi "Dieu" en jardinant. Oui nous faisons le ramadan." Lui si gourmet gourmand ne mange plus de porc et ne boit plus une goutte d’alcool mais en offre à ses invités. Ses fils (dans une école catholique) "seront libres de choisir ou pas." Je n’apprendrai pas si mes neveux prient Allah ou Dieu le Père... Terminé le traditionnel Noël familial en Alsace.
Sait-il que l’objectif de l’islam est de convertir l’humanité entière ? "Évidemment !" me répond-il enthousiaste "Mais pas comme le font les terroristes. L’état islamique, le califat n’existe pas. Ce sont des fous qui n’ont rien à voir avec l’islam. Il faut replacer le coran dans son contexte historique et ne pas s’attacher aux versions traduites de l’arabe…" Bref c’est un grand classique de l’islamisation: le musulman s’estime incapable de penser par lui-même. Soumis comme le veut l’islam, il ingurgitera les préceptes sans broncher, ce que d’autres, imams ou "savants" auront prémâché... Je lui glisse quand même qu’Allah lui-même interdit l’interprétation et la contextualisation "nul n'en connaît l'interprétation, à part Allah" (Coran 3:7) "Croyez-vous donc en une partie du Livre et rejetez-vous le reste ?" (Coran 2:85) Pas de commentaire...Bien sûr, il ne connait pas ces commandements pourtant explicites et répétés.
Je conclue notre échange en le taquinant "Finalement tu n’es pas musulman, tu es chiadmiste !" mais il a perdu tout sens de l'humour... In petto : pourvu qu’il n’aille jamais plus loin dans cette monstrueuse escroquerie... Je lui conseille une fois encore "Dans le doute, suis ton instinct, ce que te dicte ta conscience" (Une culture familiale chrétienne ne se renie pas en prononçant la shahâda, formule magique qui vous ferait passer de la Lumière à l’islam.)
"La République laïque a sous-estimé l'importance de l'aspiration spirituelle... l'instituteur ne pourra jamais remplacer le curé ou le pasteur."
Voilà comment les islamistes remplissent le vide spirituel entretenu par ces Ayatollahs d’une laïcité pervertie, anti-catholique et pro-charia, incultes et irresponsables qu’ils sont ! La foi catholique n'a pas été intégrée dans notre génération post soixante-huitarde. C’est un bug dans la transmission intergénérationnelle du christianisme, qu’il faut réparer de toute urgence sous peine de voir une partie de notre jeunesse en manque de repères rejoindre l’État islamique, quand l’autre redécouvre heureusement les vertus républicaines du service militaire.
Concernant les conversions et radicalisations dans les familles non musulmanes, contrairement à ce que les islamistes recruteurs du jihad prétendent, sachez que celles-ci sont très rares mais les plus comptabilisées car les plus "spectaculaires". En effet, ce sont les familles non musulmanes qui signalent aux autorités les dérives de leur progéniture avant qu'il ne soit trop tard, comme le révèle le rapport sur les filières du djihad d'Eric Ciotti et Patrick Menucci. Six mois d'enquête approfondie, 550 pages enregistrées le 2 juin 2015 à l'Assemblée Nationale que ce gouvernement à l'incompétence criminelle s'est empressé d'ignorer !
les différents types de jihad dans une fatwa marocaine
Mar 24 Nov - 20:01
les différents types de jihad dans une récente fatwa marocaine
Sami Aldeeb : les bons et les mauvais musulmans
Mar 1 Déc - 2:26
Sami Aldeeb : Le monde musulman se divise entre “bons” et “mauvais” musulmans ; les bons appliquent le Coran et la charia tandis que les mauvais luttent avec l’incohérence de leur position
http://www.memri.fr/2015/02/27/sami-aldeeb-le-monde-musulman-se-divise-entre-bons-et-mauvais-musulmans-les-bons-appliquent-le-coran-et-la-charia-tandis-que-les-mauvais-luttent-avec-li/
Comment l'Arabie saoudite a imposé son islam rigoriste à la Belgique
Jeu 24 Mar - 11:14
Comment l'Arabie saoudite a imposé son islam rigoriste à la Belgique
Le royaume saoudien joue un rôle-clé dans la diffusion du salafisme, héritage de quarante ans de présence religieuse en Belgique. Au point d'entraver l'intégration des musulmans. Enquête.
En 1969, le roi Baudouin crut bien faire en confiant à l'Arabie saoudite, par bail emphytéotique de nonante-neuf ans, les clés du pavillon oriental du parc du Cinquantenaire, à Bruxelles. Celle-ci y installa à grands frais le Centre islamique et culturel de Belgique (CICB), qui devint aussi le siège européen de la Ligue islamique mondiale, une ONG panislamique et prosélyte contrôlée par les Saoudiens. Le conseil d'administration de l'ASBL CICB est composé de tous les ambassadeurs des pays musulmans, mais il est présidé de droit par l'ambassadeur d'Arabie saoudite. A l'époque, l'Etat belge voulait faciliter les contrats pétroliers et faire honneur à un pays dont le roi, Fayçal, avait été généreux envers les victimes de l'incendie de l'Innovation (1967). Avec le recul historique, il apparaît que le CICB a joué un rôle-clé dans la diffusion du salafisme en Belgique.
Lire la suite >
http://www.levif.be/actualite/belgique/comment-l-arabie-saoudite-a-impose-son-islam-rigoriste-a-la-belgique/article-normal-55639.html
Le royaume saoudien joue un rôle-clé dans la diffusion du salafisme, héritage de quarante ans de présence religieuse en Belgique. Au point d'entraver l'intégration des musulmans. Enquête.
En 1969, le roi Baudouin crut bien faire en confiant à l'Arabie saoudite, par bail emphytéotique de nonante-neuf ans, les clés du pavillon oriental du parc du Cinquantenaire, à Bruxelles. Celle-ci y installa à grands frais le Centre islamique et culturel de Belgique (CICB), qui devint aussi le siège européen de la Ligue islamique mondiale, une ONG panislamique et prosélyte contrôlée par les Saoudiens. Le conseil d'administration de l'ASBL CICB est composé de tous les ambassadeurs des pays musulmans, mais il est présidé de droit par l'ambassadeur d'Arabie saoudite. A l'époque, l'Etat belge voulait faciliter les contrats pétroliers et faire honneur à un pays dont le roi, Fayçal, avait été généreux envers les victimes de l'incendie de l'Innovation (1967). Avec le recul historique, il apparaît que le CICB a joué un rôle-clé dans la diffusion du salafisme en Belgique.
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