L'Islam est une SECTE Il faut protéger les ex-musulmans
Dim 24 Mai - 12:27
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Islam=secte: Impertinence?
Poser cette question (comparer l'islam à une secte) peut sembler d'une coupable impertinence. Mais ce n'est là qu'une apparence et c'est surtout ignorer les écrits de saint Jean Damascène.
Jean Damascène est né vers 640 à Damas. Il portait le nom arabe de Mansour. Il devint administrateur des finances de la ville de Damas, qui avait dû capituler en 635 devant l'envahisseur musulman.
Il se retira au monastère de Saint-Sabbas, près de Jérusalem où, après son ordination, il rédigea ses oeuvres théologiques. Saint Jean Damascène est mort vers 750, plus que centenaire. Honoré comme saint à la fois par les orthodoxes et par les catholiques, sa "Source de la connaissance" a servi de manuel de théologie jusqu'au XIII ème siècle, et il fut même rangé parmi les docteurs de l'Eglise par le pape Léon XIII en 1890.
Jean Damascène a qualifié l'Islam de 101ème secte chrétienne. A quel titre pouvait-il le faire? Pour répondre à cette question, il nous faut d'abord définir ce qu'est une secte.
Secte: aspect social
Pour le sociologue, la secte est un diverticule qui s'est séparé d'une Eglise-mère, et qui suit un processus évolutif qui la fait passer par des étapes assez clairement définies. Pour le juriste, et aussi le politicien, la secte est un mouvement qui est en infraction avec la législation, et plus particulièrement avec la législation concernant la protection des individus. Quant au théologien, il définit la secte comme une hérésie. Il y a enfin des mouvements sectaires qui ne se sont pas détachés d'une confession religieuse existante, mais qui naissent d'un conglomérat disparate de pensées et de pratiques religieuses variées. On préfère les appeler : nouvelles religiosités ou spiritualités nouvelles.
Sociologiquement, on ne peut qualifier l'Islam de secte chrétienne ; son fondateur, Mohammed ou Mahomet (570-632), est né dans un milieu polythéiste, peut-être hénothéiste (un Dieu dominant). Cependant, lors de ses voyages en Syrie, Mohammed avait rencontré le moine chrétien Bahira. Plus tard à Marwa, près de la Mecque, il rencontrait souvent un esclave chrétien du nom de Djabr (Voir Sirâ du Prophète). Une de ses concubines qu'il prit en 629, Myriam, était chrétienne.
A la Mecque vivaient des Juifs, et Médine abritait trois tribus juives constituant environ la moitié de la population, avant leur extermination. Khaïbar, située à quelque 250 km au nord de Médine, était une ville forte juive. Rayhana, une concubine que Mohammed prit en 627 était juive, ainsi que Saffiyya qu'il épousa en 629.
Bien qu'il n'y eut pas encore, à l'époque de Mohammed, de traduction complète de la Bible en arabe, les récits de l'Ancien comme du Nouveau Testament circulaient, mais aussi des fables talmudiques et des légendes tirées d'écrits chrétiens apocryphes.
L'Islam prit ainsi naissance dans un bouillon culturel qui englobait polythéisme et hénothéisme, judaïsme et christianisme, mais aussi zoroastrisme, voire hindouisme. En utilisant la terminologie d'aujourd'hui, Jean Damascène aurait dû qualifier l'Islam de religiosité nouvelle.
Juridiquement et politiquement, il faut distinguer entre Islam modéré et Islam fondamentaliste/intégriste, ce dernier seul portant atteinte à la législation concernant la protection des individus.
Le Coran
Le Coran contient aussi de nombreuses réminiscences bibliques. Il rend un vibrant hommage à la fois à le Torah (taurat) et à l'Evangile (Indjil). Il reconnaît que ces livres, descendus de Dieu, sont véridiques (Coran Sourate 'Al `Imran, III.3) ; les musulmans doivent y croire (Coran Sourate Al-Baqara, II.87 ; 'Al `Imran, III.84 ; An-Nisa', IV.136).
Le Coran témoigne de la naissance virginale de Jésus (Coran Sourates Al-'Anbiya',XXI.91 ; At-Tahrim, LXVI.12), de sa messianité (III.45 ; IV.157), de son prophétisme (III.49 ; IV.157, 171 ; Al-Ma'ida, V.46, 75 ; Maryam, XIX.30), de sa vie sans péchés ( XIX.19 ; III.46) et le qualifie de Parole de vérité (XIX.34), de Parole de Dieu jeté en Marie (IV.171), de Verbe émané de Dieu (III.39, 45), d'Esprit émané de Dieu (IV.171 ; XXI.91 ; LXVI.12), mais sans reconnaître que Jésus est le Fils de Dieu.
Jean Damascène n'a pas seulement dénoncé cette dernière hérésie, mais encore celle qui déclare que la crucifixion était un faux-semblant (IV.157, 158). Ici encore, la doctrine coranique diverge fondamentalement de la foi chrétienne selon laquelle la crucifixion apporte au monde le salut. Non seulement le Nouveau Testament, mais déjà les prophéties de l'Ancien attestent cette doctrine fondamentale.
Une autre divergence concerne la résurrection de Jésus-Christ. Pour le Coran, dans les versets cités plus haut, Jésus est bien au ciel, auprès de Dieu ; il y a été élevé, mais sans passer par la mort et la résurrection.
Jean Damascène avait donc raison de qualifier l'Islam d'hérésie ou de secte chrétienne.
Islam Secte: aspect juridique
Mais juridiquement, qu'en est-il ? Une caractéristique des sectes que relèvent les juristes, c'est l'assujettissement des adeptes à leur mouvement et la très grande difficulté à en sortir. Les mots "Islam" et "Musulman" signifient : soumission, sous-entendu : soumission à Dieu. C'est là une des injonctions de toutes les religions. Mais, dans l'Islam, cette soumission est essentiellement une soumission aux lois de la Communautés (la Umma), au sein de laquelle s'exerce une rigoureuse surveillance réciproque.
Islam et Christianisme
Aussi est-il difficile à un Musulman de sortir du carcan religieux de l'islam et d'adopter, par exemple, la foi chrétienne. Il est alors considéré comme un renégat ou apostat et encourt la vindicte de ses anciens coreligionnaires musulmans, conformément à cet ordre du Coran : "S'ils se détournent, saisissez-les, tuez-les, partout où vous les trouverez" (Coran, Sourate An-Nisa', IV.89).
Les milliers de musulmans algériens qui ont été assassinés ces derniers temps l'ont été parce qu'ils furent considérés, en raison de leur modération, de leur libéralisme, de leur ouverture comme des renégats de la foi coranique par les islamistes fondamentalistes fidèles à l'ordre coranique ci-dessus.
Il faut certes, faire la distinction entre Musulmans modérés et Islamistes fondamentalistes / intégristes. Mais tout musulman qui prend le Coran à la lettre peut devenir intégriste !
On rétorquera en affirmant que le Coran est une religion tolérante et l'on invoquera les versets coraniques suivants : "A vous votre religion, à moi la mienne" (Al-Kafiruna, CIX.6) ou "Pas de contrainte en religion" (Al-Baqara, II.256) ou encore "Il est notre Seigneur et votre Seigneur...Notre Dieu qui est votre Dieu est unique" (Coran Al-Baqara, II.139 ; Al-`Ankabut, XXIX.46).
Mais ces versets n'ont que l'apparence de la tolérance, au regard de l'ordre de tuer les renégats qui changent de religion. De plus, le Coran est virulent envers la foi chrétienne : "Les Chrétiens ont dit : Le Messie est fils de Dieu. Qu'Allah les anéantisse ! Comment s’éloignent-ils de la vérité ? "(Coran At-Tauba, IX.30).
Si l'on considère ces aspects, l'Islam peut à juste titre, être qualifié de secte.
La question qui se pose dès lors à nos autorités est de savoir si elles sont disposées à protéger les ex-musulmans comme elles protègent les transfuges des autres sectes ? Elles le devraient, que l'on considère l'Islam comme une religion ou comme une secte.
Abd-Al-Haqq
(Serviteur de la Vérité)
Islam=secte: Impertinence?
Poser cette question (comparer l'islam à une secte) peut sembler d'une coupable impertinence. Mais ce n'est là qu'une apparence et c'est surtout ignorer les écrits de saint Jean Damascène.
Jean Damascène est né vers 640 à Damas. Il portait le nom arabe de Mansour. Il devint administrateur des finances de la ville de Damas, qui avait dû capituler en 635 devant l'envahisseur musulman.
Il se retira au monastère de Saint-Sabbas, près de Jérusalem où, après son ordination, il rédigea ses oeuvres théologiques. Saint Jean Damascène est mort vers 750, plus que centenaire. Honoré comme saint à la fois par les orthodoxes et par les catholiques, sa "Source de la connaissance" a servi de manuel de théologie jusqu'au XIII ème siècle, et il fut même rangé parmi les docteurs de l'Eglise par le pape Léon XIII en 1890.
Jean Damascène a qualifié l'Islam de 101ème secte chrétienne. A quel titre pouvait-il le faire? Pour répondre à cette question, il nous faut d'abord définir ce qu'est une secte.
Secte: aspect social
Pour le sociologue, la secte est un diverticule qui s'est séparé d'une Eglise-mère, et qui suit un processus évolutif qui la fait passer par des étapes assez clairement définies. Pour le juriste, et aussi le politicien, la secte est un mouvement qui est en infraction avec la législation, et plus particulièrement avec la législation concernant la protection des individus. Quant au théologien, il définit la secte comme une hérésie. Il y a enfin des mouvements sectaires qui ne se sont pas détachés d'une confession religieuse existante, mais qui naissent d'un conglomérat disparate de pensées et de pratiques religieuses variées. On préfère les appeler : nouvelles religiosités ou spiritualités nouvelles.
Sociologiquement, on ne peut qualifier l'Islam de secte chrétienne ; son fondateur, Mohammed ou Mahomet (570-632), est né dans un milieu polythéiste, peut-être hénothéiste (un Dieu dominant). Cependant, lors de ses voyages en Syrie, Mohammed avait rencontré le moine chrétien Bahira. Plus tard à Marwa, près de la Mecque, il rencontrait souvent un esclave chrétien du nom de Djabr (Voir Sirâ du Prophète). Une de ses concubines qu'il prit en 629, Myriam, était chrétienne.
A la Mecque vivaient des Juifs, et Médine abritait trois tribus juives constituant environ la moitié de la population, avant leur extermination. Khaïbar, située à quelque 250 km au nord de Médine, était une ville forte juive. Rayhana, une concubine que Mohammed prit en 627 était juive, ainsi que Saffiyya qu'il épousa en 629.
Bien qu'il n'y eut pas encore, à l'époque de Mohammed, de traduction complète de la Bible en arabe, les récits de l'Ancien comme du Nouveau Testament circulaient, mais aussi des fables talmudiques et des légendes tirées d'écrits chrétiens apocryphes.
L'Islam prit ainsi naissance dans un bouillon culturel qui englobait polythéisme et hénothéisme, judaïsme et christianisme, mais aussi zoroastrisme, voire hindouisme. En utilisant la terminologie d'aujourd'hui, Jean Damascène aurait dû qualifier l'Islam de religiosité nouvelle.
Juridiquement et politiquement, il faut distinguer entre Islam modéré et Islam fondamentaliste/intégriste, ce dernier seul portant atteinte à la législation concernant la protection des individus.
Le Coran
Le Coran contient aussi de nombreuses réminiscences bibliques. Il rend un vibrant hommage à la fois à le Torah (taurat) et à l'Evangile (Indjil). Il reconnaît que ces livres, descendus de Dieu, sont véridiques (Coran Sourate 'Al `Imran, III.3) ; les musulmans doivent y croire (Coran Sourate Al-Baqara, II.87 ; 'Al `Imran, III.84 ; An-Nisa', IV.136).
Le Coran témoigne de la naissance virginale de Jésus (Coran Sourates Al-'Anbiya',XXI.91 ; At-Tahrim, LXVI.12), de sa messianité (III.45 ; IV.157), de son prophétisme (III.49 ; IV.157, 171 ; Al-Ma'ida, V.46, 75 ; Maryam, XIX.30), de sa vie sans péchés ( XIX.19 ; III.46) et le qualifie de Parole de vérité (XIX.34), de Parole de Dieu jeté en Marie (IV.171), de Verbe émané de Dieu (III.39, 45), d'Esprit émané de Dieu (IV.171 ; XXI.91 ; LXVI.12), mais sans reconnaître que Jésus est le Fils de Dieu.
Jean Damascène n'a pas seulement dénoncé cette dernière hérésie, mais encore celle qui déclare que la crucifixion était un faux-semblant (IV.157, 158). Ici encore, la doctrine coranique diverge fondamentalement de la foi chrétienne selon laquelle la crucifixion apporte au monde le salut. Non seulement le Nouveau Testament, mais déjà les prophéties de l'Ancien attestent cette doctrine fondamentale.
Une autre divergence concerne la résurrection de Jésus-Christ. Pour le Coran, dans les versets cités plus haut, Jésus est bien au ciel, auprès de Dieu ; il y a été élevé, mais sans passer par la mort et la résurrection.
Jean Damascène avait donc raison de qualifier l'Islam d'hérésie ou de secte chrétienne.
Islam Secte: aspect juridique
Mais juridiquement, qu'en est-il ? Une caractéristique des sectes que relèvent les juristes, c'est l'assujettissement des adeptes à leur mouvement et la très grande difficulté à en sortir. Les mots "Islam" et "Musulman" signifient : soumission, sous-entendu : soumission à Dieu. C'est là une des injonctions de toutes les religions. Mais, dans l'Islam, cette soumission est essentiellement une soumission aux lois de la Communautés (la Umma), au sein de laquelle s'exerce une rigoureuse surveillance réciproque.
Islam et Christianisme
Aussi est-il difficile à un Musulman de sortir du carcan religieux de l'islam et d'adopter, par exemple, la foi chrétienne. Il est alors considéré comme un renégat ou apostat et encourt la vindicte de ses anciens coreligionnaires musulmans, conformément à cet ordre du Coran : "S'ils se détournent, saisissez-les, tuez-les, partout où vous les trouverez" (Coran, Sourate An-Nisa', IV.89).
Les milliers de musulmans algériens qui ont été assassinés ces derniers temps l'ont été parce qu'ils furent considérés, en raison de leur modération, de leur libéralisme, de leur ouverture comme des renégats de la foi coranique par les islamistes fondamentalistes fidèles à l'ordre coranique ci-dessus.
Il faut certes, faire la distinction entre Musulmans modérés et Islamistes fondamentalistes / intégristes. Mais tout musulman qui prend le Coran à la lettre peut devenir intégriste !
On rétorquera en affirmant que le Coran est une religion tolérante et l'on invoquera les versets coraniques suivants : "A vous votre religion, à moi la mienne" (Al-Kafiruna, CIX.6) ou "Pas de contrainte en religion" (Al-Baqara, II.256) ou encore "Il est notre Seigneur et votre Seigneur...Notre Dieu qui est votre Dieu est unique" (Coran Al-Baqara, II.139 ; Al-`Ankabut, XXIX.46).
Mais ces versets n'ont que l'apparence de la tolérance, au regard de l'ordre de tuer les renégats qui changent de religion. De plus, le Coran est virulent envers la foi chrétienne : "Les Chrétiens ont dit : Le Messie est fils de Dieu. Qu'Allah les anéantisse ! Comment s’éloignent-ils de la vérité ? "(Coran At-Tauba, IX.30).
Si l'on considère ces aspects, l'Islam peut à juste titre, être qualifié de secte.
La question qui se pose dès lors à nos autorités est de savoir si elles sont disposées à protéger les ex-musulmans comme elles protègent les transfuges des autres sectes ? Elles le devraient, que l'on considère l'Islam comme une religion ou comme une secte.
Abd-Al-Haqq
(Serviteur de la Vérité)
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