Mort d'un nouveau né : L'instrumentalisation du PS
Dim 28 Oct - 12:28
La mère du bébé décédé dénonce l’instrumentalisation du PS
Anne-Sophie Delestre, la mère qui avait perdu son enfant en accouchant dans sa voiture, sur l’A20, pour se rendre à l’hôpital de Brive, en Corrèze, a accordé un entretien au Parisien, où elle dénonce l’instrumentalisation politique sordide faite par le Parti socialiste et particulièrement par François Hollande et Marisol Touraine, autour de la mort de son enfant. Une interview pleine de lucidité et de dignité.
A la suite de cet accident terrible, le Président de la république n’avait pu s’empêcher de sortir une tirade larmoyante devant des professionnels de la santé, à Nice et de remettre l’une de ses rares promesses de campagne sur le tapis :
« Le drame (…) nous appelle une nouvelle fois, encore, à ne rien accepter en matière de désert médical. Et en même temps je prends l’engagement, celui que j’avais déjà énoncé avant l’élection présidentielle, et que je rappelle ici comme chef de l’Etat : aucun Français ne doit se trouver à plus de 30 minutes de soins d’urgence. »
Sérieusement ! Un bébé est mort et Hollande vient nous dire comme son programme est génial ?! « Grâce à ma politique formidable, les nourrissons ne décéderont plus sur l’autoroute A20 : vous avez eu raison de voter pour mon super programme ! », semble ainsi dire le président. Et tant pis si dans le même temps une mère souffre de la disparition de son enfant et de la vague médiatique lancée par le Président de la république, qu’elle se prend en pleine face.
Tel un Sarkozy surfant sur l’actualité, Hollande avait même exigé une enquête sur cette mort accidentelle.
La ministre de l’homoparentalité et de la pilule en maternelle, Marisol Touraine, dans sa bonne bienpensance socialiste, n’avait pu s’empêcher d’y aller également de son petit commentaire, expliquant que la mère «avait manifestement une grossesse à risque» et que l’enfant était «de très petite taille».
Des propos mensongers, sans aucun autre objectif que d’attirer la lumière médiatique sur sa petite personne, qui ont profondément dégouté Anne-Sophie Delestre. Malgré sa souffrance et sa dignité, la mère victime du drame a été obligée de donner une interview pour mettre un terme à cette course aux déclarations fracassantes des socialistes, qui n’ont aucun scrupule à instrumentaliser un si terrible accident pour faire parler d’eux. Répugnant !
« C’est inadmissible. C’est du voyeurisme. Profiter du drame des personnes, c’est inhumain », s’indigne donc Anne-Sophie Delestre dans Le Parisien, où elle démonte Marisol Touraine pour ses propos scandaleux : « Personne ne pouvait savoir que le bébé arriverait aussi vite, » aucune « anomalie n’avait été détectée pendant sa grossesse » et « 31 cm, 700 grammes, ce n’est pas si petit pour 7 mois. C’est dans les deux derniers mois qu’elle devait prendre du poids », explique ainsi la mère lucide, qui a conscience que les accident de la vie arrivent, aussi dramatiques soient-ils.
Enfin Anne-Sophie Delestre critique violemment les journalistes qui l’ont harcelée pendant que la polémique était médiatisée. Des journalistes au comportement de fouines, propre à ce qu’est devenue leur profession. Si on s’attend à de tels excès de leur part, on est bien plus interloqué de voir des politiques exploiter la mort d’un nourrisson à ce point. D’autant plus que les médias n’auraient jamais tant couvert ce fait divers si Hollande et Touraine (entre autres socialistes) ne l’avaient pas autant instrumentalisé.
Dire que les mêmes socialistes ont passé 5 ans à reprocher à Sarkozy d’instrumentaliser les faits divers. Une instrumentalisation indéniable de l’ancien président qui avait le mérite de le faire pour des vrais problèmes sociétaux et non pas pour un coup de malchance du hasard… Hollande avait même juré, pendant la campagne, qu’il ne prendrait pas de décision politique à la suite de faits divers, comme pour monter qu’il serait un président moral contrairement à son prédécesseur.
De l’art de prendre les Français pour des crétins…
le 26 octobre 2012 dans 24hActu
Anne-Sophie Delestre, la mère qui avait perdu son enfant en accouchant dans sa voiture, sur l’A20, pour se rendre à l’hôpital de Brive, en Corrèze, a accordé un entretien au Parisien, où elle dénonce l’instrumentalisation politique sordide faite par le Parti socialiste et particulièrement par François Hollande et Marisol Touraine, autour de la mort de son enfant. Une interview pleine de lucidité et de dignité.
A la suite de cet accident terrible, le Président de la république n’avait pu s’empêcher de sortir une tirade larmoyante devant des professionnels de la santé, à Nice et de remettre l’une de ses rares promesses de campagne sur le tapis :
« Le drame (…) nous appelle une nouvelle fois, encore, à ne rien accepter en matière de désert médical. Et en même temps je prends l’engagement, celui que j’avais déjà énoncé avant l’élection présidentielle, et que je rappelle ici comme chef de l’Etat : aucun Français ne doit se trouver à plus de 30 minutes de soins d’urgence. »
Sérieusement ! Un bébé est mort et Hollande vient nous dire comme son programme est génial ?! « Grâce à ma politique formidable, les nourrissons ne décéderont plus sur l’autoroute A20 : vous avez eu raison de voter pour mon super programme ! », semble ainsi dire le président. Et tant pis si dans le même temps une mère souffre de la disparition de son enfant et de la vague médiatique lancée par le Président de la république, qu’elle se prend en pleine face.
Tel un Sarkozy surfant sur l’actualité, Hollande avait même exigé une enquête sur cette mort accidentelle.
La ministre de l’homoparentalité et de la pilule en maternelle, Marisol Touraine, dans sa bonne bienpensance socialiste, n’avait pu s’empêcher d’y aller également de son petit commentaire, expliquant que la mère «avait manifestement une grossesse à risque» et que l’enfant était «de très petite taille».
Des propos mensongers, sans aucun autre objectif que d’attirer la lumière médiatique sur sa petite personne, qui ont profondément dégouté Anne-Sophie Delestre. Malgré sa souffrance et sa dignité, la mère victime du drame a été obligée de donner une interview pour mettre un terme à cette course aux déclarations fracassantes des socialistes, qui n’ont aucun scrupule à instrumentaliser un si terrible accident pour faire parler d’eux. Répugnant !
« C’est inadmissible. C’est du voyeurisme. Profiter du drame des personnes, c’est inhumain », s’indigne donc Anne-Sophie Delestre dans Le Parisien, où elle démonte Marisol Touraine pour ses propos scandaleux : « Personne ne pouvait savoir que le bébé arriverait aussi vite, » aucune « anomalie n’avait été détectée pendant sa grossesse » et « 31 cm, 700 grammes, ce n’est pas si petit pour 7 mois. C’est dans les deux derniers mois qu’elle devait prendre du poids », explique ainsi la mère lucide, qui a conscience que les accident de la vie arrivent, aussi dramatiques soient-ils.
Enfin Anne-Sophie Delestre critique violemment les journalistes qui l’ont harcelée pendant que la polémique était médiatisée. Des journalistes au comportement de fouines, propre à ce qu’est devenue leur profession. Si on s’attend à de tels excès de leur part, on est bien plus interloqué de voir des politiques exploiter la mort d’un nourrisson à ce point. D’autant plus que les médias n’auraient jamais tant couvert ce fait divers si Hollande et Touraine (entre autres socialistes) ne l’avaient pas autant instrumentalisé.
Dire que les mêmes socialistes ont passé 5 ans à reprocher à Sarkozy d’instrumentaliser les faits divers. Une instrumentalisation indéniable de l’ancien président qui avait le mérite de le faire pour des vrais problèmes sociétaux et non pas pour un coup de malchance du hasard… Hollande avait même juré, pendant la campagne, qu’il ne prendrait pas de décision politique à la suite de faits divers, comme pour monter qu’il serait un président moral contrairement à son prédécesseur.
De l’art de prendre les Français pour des crétins…
le 26 octobre 2012 dans 24hActu
- InvitéInvité
Re: Mort d'un nouveau né : L'instrumentalisation du PS
Jeu 1 Nov - 18:42
Complètement absurdeCalculette a écrit:La mère du bébé décédé dénonce l’instrumentalisation du PS
« Le drame (…) nous appelle une nouvelle fois, encore, à ne rien accepter en matière de désert médical. Et en même temps je prends l’engagement, celui que j’avais déjà énoncé avant l’élection présidentielle, et que je rappelle ici comme chef de l’Etat : aucun Français ne doit se trouver à plus de 30 minutes de soins d’urgence. »
Il y a tellement de paramètres qui rentre en compte dans les situations d'urgences.
Quand j'ai vu l'info, ma première réaction ça a été pourquoi cette info tellement banale (bien que se soit un drame pour la famille et je respecte).Des dizaines, des centaines peut être des milliers de personnes décèdent faute d'arriver à l’hôpital à temps, ou de voir les secours arriver à temps. Dans le même principe que l'on ne peut pas mettre un policier derrière chaque personne, on ne peut pas mettre un hôpital dans chaque ville.
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