Les images censurées de l'émeute des salafistes à Paris
Dim 16 Sep - 19:13
Au moment des faits hier après midi, nous les suivions sur Tweeter nous demandant s'il ne s'agissait pas d'une rumeur tellement les infos étaient ... incroyables !
Non... pas chez nous .. pas en France quand même !...
Le soir pratiquement rien aux infos :
La manifestation non autorisée menée par les barbus salafistes et déclenchée à partir de SMS envoyés par centaines dans les banlieues s'est déroulée aux cris de "alahakbar", quatre policiers ont été blessés... Bref ...
Il s'agissait d'une "situation normale" d'une "présidence normale"
Il faut fouiller le net et chercher en anglais pour trouver des images censurées en France
La version "officielle"
Mais de qui les médias se moque-t-ils ?
Faut-il informer les Français en montrant les exactions de ces fanatiques islamiques en France au risque de leur faire de la pub ?
ou bien censurer les images en minimisant le phénomène et en niant la réalité et leur présence sur notre territoire ?
Apparemment , la deuxième solution est privilégiée : Une douce "prophylaxie" qui filtre les propos et les images de la manif
Les médias ont-ils là aussi, des consignes de mensonge ou de discrétion ou bien sont-ils seulement incompétents ? Qui décide ?
Ils annoncent "150 interpellations pour contrôle d'identité", et près de 200 personnes "en majorité des barbus vêtus de djellaba" ... Histoire de faire croire que le phénomène ne concerne que quelques illuminés dangereux et non pas une population banlieusarde manipulée par ces même barbares salafistes
C'était une manif de salafistes ou bien une manif de gendarmes ? Une manif de gamins désœuvrés de banlieues menées par quelques radicaux salafistes ?
6 policiers blessés "légèrement" Il faudrait de rabaisser les trottoirs dans Paris, on en tombe si facilement !!
Quand cesseront-ils de nous prendre pour des débiles incapables de faire la part des choses ?
Un blanc-seing pour les fanatiques ?
Et si cette censure, ce travestissement de la vérité des faits avait l’effet contraire sur les principaux intéressés ? Si ceux-ci ne considéraient pas plutôt qu’il s’agit d’un blanc-seing qui leur est donné ? Ils peuvent bramer n’importe quoi, ce sera coupé au montage.
Mais pas partout : sur les réseaux sociaux, ils sont des milliers à s’enorgueillir publiquement de cette forme particulière de "courage", et de vanter les "mérites" de Merah au nom des enfants de Palestine.
L'automne des banlieues
Et pourquoi donc les policiers, subordonnés aux ordres de Manuel Valls, se sont-ils contentés de contrôler les identités de 150 militants racistes. Pourquoi ne pas les avoir mis en examen, ou, à tout le moins, certains d’entre eux ? Naan, il n’est pas autorisé, en France, d’appeler publiquement au massacre de ses compatriotes. Ils ne sont pas en état d’arrestation parce que cela aurait pu provoquer l’Automne des banlieues. Cette révolution gigantesque qui couve et que personne ne sait comment éviter. Celui-ci s'est aussi manifesté lors de la fête de l'Huma ou Caroline Fourest qui luttent à gauche contre l'islamisation, invitée pour descendre le FN a du quitter la salle sous les cris de "le racisme ne passera pas" ...
Non... pas chez nous .. pas en France quand même !...
Le soir pratiquement rien aux infos :
La manifestation non autorisée menée par les barbus salafistes et déclenchée à partir de SMS envoyés par centaines dans les banlieues s'est déroulée aux cris de "alahakbar", quatre policiers ont été blessés... Bref ...
Il s'agissait d'une "situation normale" d'une "présidence normale"
Il faut fouiller le net et chercher en anglais pour trouver des images censurées en France
La version "officielle"
Mais de qui les médias se moque-t-ils ?
Faut-il informer les Français en montrant les exactions de ces fanatiques islamiques en France au risque de leur faire de la pub ?
ou bien censurer les images en minimisant le phénomène et en niant la réalité et leur présence sur notre territoire ?
Apparemment , la deuxième solution est privilégiée : Une douce "prophylaxie" qui filtre les propos et les images de la manif
Les médias ont-ils là aussi, des consignes de mensonge ou de discrétion ou bien sont-ils seulement incompétents ? Qui décide ?
Ils annoncent "150 interpellations pour contrôle d'identité", et près de 200 personnes "en majorité des barbus vêtus de djellaba" ... Histoire de faire croire que le phénomène ne concerne que quelques illuminés dangereux et non pas une population banlieusarde manipulée par ces même barbares salafistes
C'était une manif de salafistes ou bien une manif de gendarmes ? Une manif de gamins désœuvrés de banlieues menées par quelques radicaux salafistes ?
6 policiers blessés "légèrement" Il faudrait de rabaisser les trottoirs dans Paris, on en tombe si facilement !!
Quand cesseront-ils de nous prendre pour des débiles incapables de faire la part des choses ?
Un blanc-seing pour les fanatiques ?
Et si cette censure, ce travestissement de la vérité des faits avait l’effet contraire sur les principaux intéressés ? Si ceux-ci ne considéraient pas plutôt qu’il s’agit d’un blanc-seing qui leur est donné ? Ils peuvent bramer n’importe quoi, ce sera coupé au montage.
Mais pas partout : sur les réseaux sociaux, ils sont des milliers à s’enorgueillir publiquement de cette forme particulière de "courage", et de vanter les "mérites" de Merah au nom des enfants de Palestine.
L'automne des banlieues
Et pourquoi donc les policiers, subordonnés aux ordres de Manuel Valls, se sont-ils contentés de contrôler les identités de 150 militants racistes. Pourquoi ne pas les avoir mis en examen, ou, à tout le moins, certains d’entre eux ? Naan, il n’est pas autorisé, en France, d’appeler publiquement au massacre de ses compatriotes. Ils ne sont pas en état d’arrestation parce que cela aurait pu provoquer l’Automne des banlieues. Cette révolution gigantesque qui couve et que personne ne sait comment éviter. Celui-ci s'est aussi manifesté lors de la fête de l'Huma ou Caroline Fourest qui luttent à gauche contre l'islamisation, invitée pour descendre le FN a du quitter la salle sous les cris de "le racisme ne passera pas" ...
Re: Les images censurées de l'émeute des salafistes à Paris
Dim 16 Sep - 22:53
INTERVIEW du juge BRUGUIÈRE.- L'ex-juge antiterroriste évoque une menace diffuse et des réseaux « polymorphes ».
LE FIGARO. - Comment 200 islamistes radicaux peuvent se réunir en si peu de temps en plein cœur de Paris?
Jean-Louis BRUGUIÈRE. - Nous sommes confrontés à un phénomène de radicalisation qui échappe à tout modèle de socialisation. Les organisations musulmanes elles-mêmes sont dépassées. Ce qui m'inquiète, c'est la dilution de la menace, ce processus de protestation publique aux limites de la violence, qui gagne une certaine jeunesse, comme si le vivier de l'islamisme radical s'était élargi en France.
Qui l'agite en sous-main?
Ces jeunes ne sont pas directement manipulés comme pouvaient l'être leurs aînés impliqués dans des dossiers judiciaires. On constate l'émergence de réseaux polymorphes, spontanés, sans réel fondement idéologique. Un peu comme dans le dossier Merah. Leur niveau de réflexion est très faible et leurs membres sont très réactifs aux phénomènes extérieurs, amplifiés par Internet et les moyens modernes de communication. Ces gens ne sont pas liés aux cellules combattantes et n'en ont d'ailleurs pas besoin pour basculer dans l'action radicale.
Mais al-Qaida a-t-il encore des relais en France?
Je sais qu'une certaine école s'évertue à nous convaincre qu'al-Qaida, c'est fini, que ce qui est important aujourd'hui, c'est la lutte contre le crime organisé. Mais cette forme de négationnisme risque de nous coûter cher. Car le terrorisme de demain se nourrit déjà des frustrations nées des crises arabes et de la précarisation induite par la crise économique, sur fond de crise identitaire. Le péril al-Qaida est loin d'avoir disparu.
Vous connaissez bien les Américains. Qu'ont-ils à craindre en France?
En 2001, avec l'affaire Beghal, nous avions déjà déjoué un projet d'attaque terroriste contre l'ambassade des États-Unis à Paris. Nous ne sommes pas à l'abri qu'un tel scénario se reproduise. Certes, la France tient bien sa sécurité. Mais le risque, c'est qu'une cellule ou un individu autoradicalisé visent une soft target, dans le langage des experts, une entité qui symbolise l'Amérique, comme un magasin, une école, une personnalité ou une enseigne célèbre, voire un cabinet d'avocats.
Une représentation diplomatique en province?
Il ne faut rien négliger dans un tel contexte, d'autant que les foyers de l'islamisme radical sont nombreux en France. Je pense notamment à Lyon, Marseille, Tours, Orléans, Avignon et puis Lille aussi, où le GIA algérien a été très implanté, nouant des liens avec les activistes de Belgique.
Des manifestations viennent justement d'avoir lieu à Anvers…
Il n'y a plus de frontières. Nous sommes dans un scénario comme au Danemark après la publication des caricatures de Mahomet. À cette différence près qu'aujourd'hui émergent des mouvements de rue semblables à ces manifestations ouvertes dans les pays arabes. Or il est quasiment impossible de les réprimer juridiquement. Pour Paris et les autres capitales concernées, c'est indéniablement un défi et pour les islamistes, un test à grande échelle.
Bruguière : «Le vivier de l'islamisme s'est élargi»
LE FIGARO. - Comment 200 islamistes radicaux peuvent se réunir en si peu de temps en plein cœur de Paris?
Jean-Louis BRUGUIÈRE. - Nous sommes confrontés à un phénomène de radicalisation qui échappe à tout modèle de socialisation. Les organisations musulmanes elles-mêmes sont dépassées. Ce qui m'inquiète, c'est la dilution de la menace, ce processus de protestation publique aux limites de la violence, qui gagne une certaine jeunesse, comme si le vivier de l'islamisme radical s'était élargi en France.
Qui l'agite en sous-main?
Ces jeunes ne sont pas directement manipulés comme pouvaient l'être leurs aînés impliqués dans des dossiers judiciaires. On constate l'émergence de réseaux polymorphes, spontanés, sans réel fondement idéologique. Un peu comme dans le dossier Merah. Leur niveau de réflexion est très faible et leurs membres sont très réactifs aux phénomènes extérieurs, amplifiés par Internet et les moyens modernes de communication. Ces gens ne sont pas liés aux cellules combattantes et n'en ont d'ailleurs pas besoin pour basculer dans l'action radicale.
Mais al-Qaida a-t-il encore des relais en France?
Je sais qu'une certaine école s'évertue à nous convaincre qu'al-Qaida, c'est fini, que ce qui est important aujourd'hui, c'est la lutte contre le crime organisé. Mais cette forme de négationnisme risque de nous coûter cher. Car le terrorisme de demain se nourrit déjà des frustrations nées des crises arabes et de la précarisation induite par la crise économique, sur fond de crise identitaire. Le péril al-Qaida est loin d'avoir disparu.
Vous connaissez bien les Américains. Qu'ont-ils à craindre en France?
En 2001, avec l'affaire Beghal, nous avions déjà déjoué un projet d'attaque terroriste contre l'ambassade des États-Unis à Paris. Nous ne sommes pas à l'abri qu'un tel scénario se reproduise. Certes, la France tient bien sa sécurité. Mais le risque, c'est qu'une cellule ou un individu autoradicalisé visent une soft target, dans le langage des experts, une entité qui symbolise l'Amérique, comme un magasin, une école, une personnalité ou une enseigne célèbre, voire un cabinet d'avocats.
Une représentation diplomatique en province?
Il ne faut rien négliger dans un tel contexte, d'autant que les foyers de l'islamisme radical sont nombreux en France. Je pense notamment à Lyon, Marseille, Tours, Orléans, Avignon et puis Lille aussi, où le GIA algérien a été très implanté, nouant des liens avec les activistes de Belgique.
Des manifestations viennent justement d'avoir lieu à Anvers…
Il n'y a plus de frontières. Nous sommes dans un scénario comme au Danemark après la publication des caricatures de Mahomet. À cette différence près qu'aujourd'hui émergent des mouvements de rue semblables à ces manifestations ouvertes dans les pays arabes. Or il est quasiment impossible de les réprimer juridiquement. Pour Paris et les autres capitales concernées, c'est indéniablement un défi et pour les islamistes, un test à grande échelle.
Re: Les images censurées de l'émeute des salafistes à Paris
Lun 17 Sep - 22:25
On commence à avoir quelques images
Dans le 8e arrondissement de Paris et sur les Champs-Élysées. Ils ont manifesté au cri de "nous sommes tous Oussama" (Ben Laden), ont tenté d'attaquer l'ambassade des États-Unis...
Dans la vidéo, les musulmans crient "Souvenez-vous de Khaybar, Juifs !" (bataille après laquelle Mahomet et ses sbires ont assassiné tous les Juifs de la ville de Khaybar), ce qui signifie "Mort aux Juifs !", comme les musulmans et arabisants le savent.
Voici le reportage de Guy Sauvage :
Face à l’ambassade des Etats-Unis une nourrice voilée (et fière de l’être, nourrice et islamiste) crie à la face des gardiens de la paix :
"On n’a rien fait, vous n’avez pas le droit ! (Le droit de faire quoi, Madame ? Les gendarmes n’ont pas bougé) La violence, la violence, pourquoi la violence ? (Ils n’ont toujours pas bougé, quelle violence ?) On n’est pas là pour faire de la violence, on est là pour se faire respecter ! Respectez-nous !" (En quoi faisant, Madame ?)
Quelques secondes plus tard, comme le montre le reportage la foule toute entière hurle : "Egorgez les Juifs !" (Etbakh el Yahoud), à six reprises.
Manuel Valls se trompe malgré ses bonnes intentions en s’élevant contre "les slogans hostiles à des pays alliés", ajoutant "à nos valeurs". Pas question d’Israël, mais des Juifs en général, des Français juifs. Ignore-t-il la subtilité entre antisionisme et antisémitisme ?
La nuance ? C'est juste que ce sont les Vincent Peillon, ministre de l’Education, Jean-François Copé (Copelovici), le secrétaire général de l’UMP, Dominique Vidal, Alain Gresh, Olivia Zemor ... plus quelques centaines de milliers de leurs coreligionnaires français que ces fanatiques menacent de massacre!
Est-ce à force d’ignorer un problème qu’il cesse d’exister ?
"Quand on se met la main sur les yeux, les autres ne nous voient-ils pas ? Réponse dans pas longtemps. Parce que des gens qui réagissent de la sorte parce qu’un film débile écorne un prophète ne s’arrêteront pas en si bon chemin. Parce qu’il y a plus de six milliards de metteurs en scène potentiels, et que personne – heureusement – ne peut contrôler le Net. Bref, ça promet des dimanches qui chantent." Lit -on dans Metula News Agency
Dans le 8e arrondissement de Paris et sur les Champs-Élysées. Ils ont manifesté au cri de "nous sommes tous Oussama" (Ben Laden), ont tenté d'attaquer l'ambassade des États-Unis...
Dans la vidéo, les musulmans crient "Souvenez-vous de Khaybar, Juifs !" (bataille après laquelle Mahomet et ses sbires ont assassiné tous les Juifs de la ville de Khaybar), ce qui signifie "Mort aux Juifs !", comme les musulmans et arabisants le savent.
Voici le reportage de Guy Sauvage :
Face à l’ambassade des Etats-Unis une nourrice voilée (et fière de l’être, nourrice et islamiste) crie à la face des gardiens de la paix :
"On n’a rien fait, vous n’avez pas le droit ! (Le droit de faire quoi, Madame ? Les gendarmes n’ont pas bougé) La violence, la violence, pourquoi la violence ? (Ils n’ont toujours pas bougé, quelle violence ?) On n’est pas là pour faire de la violence, on est là pour se faire respecter ! Respectez-nous !" (En quoi faisant, Madame ?)
Quelques secondes plus tard, comme le montre le reportage la foule toute entière hurle : "Egorgez les Juifs !" (Etbakh el Yahoud), à six reprises.
Manuel Valls se trompe malgré ses bonnes intentions en s’élevant contre "les slogans hostiles à des pays alliés", ajoutant "à nos valeurs". Pas question d’Israël, mais des Juifs en général, des Français juifs. Ignore-t-il la subtilité entre antisionisme et antisémitisme ?
La nuance ? C'est juste que ce sont les Vincent Peillon, ministre de l’Education, Jean-François Copé (Copelovici), le secrétaire général de l’UMP, Dominique Vidal, Alain Gresh, Olivia Zemor ... plus quelques centaines de milliers de leurs coreligionnaires français que ces fanatiques menacent de massacre!
Est-ce à force d’ignorer un problème qu’il cesse d’exister ?
"Quand on se met la main sur les yeux, les autres ne nous voient-ils pas ? Réponse dans pas longtemps. Parce que des gens qui réagissent de la sorte parce qu’un film débile écorne un prophète ne s’arrêteront pas en si bon chemin. Parce qu’il y a plus de six milliards de metteurs en scène potentiels, et que personne – heureusement – ne peut contrôler le Net. Bref, ça promet des dimanches qui chantent." Lit -on dans Metula News Agency
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum