Le prestige de la France vu depuis la Belgique par notre amie "mps"

Ce n'est pas encore le bilan d'un quinquennat, mais bien celui de 5 jours de Présidence.

- adieux à son prédécesseur. Contre tout usage, il ne reconduit pas le couple à
sa voiture, mais lui tourne le dos avec la dernière grossièreté pour se ruer
(enfin) dans "son" Élysée !

- Défilé "triomphal" du nouveau Président : alors qu'il pleut à
verse, sa merveilleuse équipe a oublié qu'il existait une voiture
présidentielle à toit de plexi, mais aussi que les parapluies et gabardines ne
sont pas fait pour les jours ensoleillés ... Avant de mettre la France dans la
panade, voila déjà le Président transformé en soupe.

- vol vers Berlin. "Le ciel, dans sa fureur ..." bref, foudre, retour,
avion de rechange, etc. Décidément, l'horoscope est comme le temps : pas bon !

- arrivée à Berlin : le monde découvre un gros benet, genre campeur en congés
payés, n'ayant aucune idée du protocole. Merkel doit le tirer, le pousser, le
forcer à saluer le drapeau, il a l'aisance d'un ballot de linge sale ... Il lui
débite son petit catéchisme en tendant la sibylle, elle fait un communiqué sur
leur accord en matière de relance, ce qui ne signifie pas la même chose pour
leurs européens, que pour le tandem greco-français ... Bref, il se fait jeter
poliment, mais revient officiellement ravis du "rapprochement".

- arrivée à Washington avec sa concubine royale. Michèle Obama a pour mission
d'écarter la dame de tout protocole, et l'emmène au hasard visiter une école ou
un cours de gym. La First Lady marche devant avec les personnalités qui la
reçoivent, la dame Rottweiller suit dans le cortège, sans plus. Elle fait
bien entendu la g...

- entretien privé entre les Présidents. Hollande ne comprend pas l'anglais,
Obama n'a pas grand chose à lui dire, et la conversation porte sur la nécessité
d'avoir ou non une cravate le lendemain (sic). Ils sont tous les deux
pour la relance, mais sans qu'on ne parle du comment. La presse française parle
de la force de conviction du nouveau Président (another shoeshine, Sir ?)

- conférence de presse après l'entretien. Flamby est assis sur la pointe des
fesses et sourit bêtement ; seul, Obama s'exprime, très à l'aise. Et sort
cette phrase qui est la pire baffe jamais administrée :
"j'ai été ravi de parler avec M. Hollande et d'avoir son opinion ...
sur la qualité des hamburgers de Chicago" !!! (sic !)
L'autre sourit toujours aussi bêtement.

- G-8 : bienvenue au club. Seuls Merkel et Obama, qui l'ont déjà pratiqué, ne
sont pas surpris. Flamby relis un vieux texte de sa campagne concernant les
milliards qu'il veut pour sa "relance", personne ne répond. On parle
d'autre chose ... La presse française prétend qu'il s'est "affirmé" ;
aucune autre presse ne mentionne même son intervention.

Otan : Flamby annonce le retrait de son contingent militaire, qu'il va
immédiatement remplacer par de l'assistance technique.
Les alliés vont donc augmenter leurs effectifs pour compenser, à charge du
budget français, de quoi répondre aux nécessités stratégiques. L'échange des
français sera à charge de leur pays, et représentera un surcoût de 6 mois de
présence militaire (+ un an de défaillance militaire). Parce que ses
conseillers pacifico-militaires, il faut les amener, les nourrir, mais aussi
les protéger. Il n'y avait sans doute pas pensé ! La presse française
dégouline de joie devant cette "victoire". Aucune autre presse
ne consacre une ligne à ce retrait.

Les américains lui rendent sa girl-friend et les collent dans l'avion de retour
!

A peine débarqué, il se plaint de 20 milliards manquant au Budget, suite
un vote subreptice du gouvernement (il vote, le gouvernement ?) Bon, il a
compris qu'il devrait mettre un bémol à ses promesses délirantes, et cherche
déjà son prédécesseur comme excuse. Le Budget (peut-être l'ignore-t-il) est
contrôlé quotidiennement par la Commission Parlementaire ... sous la présidence
d'un socialiste !

Même en France, on commence à découvrir le gros nase ... Voir lien ci-dessous !


https://www.youtube.com/watch?v=9lx8WN-RZDQ