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CalculetteAdministrateur
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Le dernier "truc" propagandiste en vogue : l'audit citoyen
Dim 27 Nov - 12:43
un "audit citoyen" de la dette publique
Mais oui biensur ... La crise ... mais quelle crise ?
Et puis tant qu'on y est pourquoi ne pas inventer des conséquences qui n'existent pas, grâce à la gouvernance de Sarkozy qui s'acharne à protéger la France et les français... surtout les plus fragiles !!
C'est nouveau ! ça vient de sortir !! [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Fallait y penser ! [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Bref...
On nous prend vraiment pour des billes !
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]Mobilisation pour un audit citoyen de la dette publique !
Le rouleau compresseur médiatique de la dette justifie aujourd’hui la mise en place de mesures injustes : d’une part, des coupes violentes dans les salaires, dans les pensions, dans la fonction publique et les services publics, et des attaques sur le droit du travail ; de l’autre, un statu quo inacceptable en termes de régulation de la finance.
Un des objectifs principaux du collectif pour un audit citoyen de la dette publique consiste à fournir des outils de mobilisations pour dénoncer cette « arnaque » de la dette. Il est possible d’agir, et plus que jamais nécessaire de se mobiliser collectivement (rubrique «agir»). A commencer, bien sûr, par signer et faire circuler la pétition:
Mais oui biensur ... La crise ... mais quelle crise ?
Et puis tant qu'on y est pourquoi ne pas inventer des conséquences qui n'existent pas, grâce à la gouvernance de Sarkozy qui s'acharne à protéger la France et les français... surtout les plus fragiles !!
(...)des coupes violentes dans les salaires, dans les pensions, dans la fonction publique et les services publics, et des attaques sur le droit du travail ;
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Musica- Nombre de messages : 84
Re: Le dernier "truc" propagandiste en vogue : l'audit citoyen
Dim 27 Nov - 13:51
c'est toujours à peu près le même discours mensongé, à ce propos , je ne peux m'enpêcher de penser à Albert Camus, gauchiste dans l'âme , mais humaniste avant tout, il avait tourné le dos à cette gauche nauséabonde, ça ne m'étonne pas....il avait tout compris et tout dit, d'ailleurs il suffit de lire ça :
ALBERT CAMUS
Il est mort prématurément, il y a presque cinquante ans. La publication de ses œuvres complètes nous invite à relire cet écrivain qui avait fait le choix de la vérité.
Dans les années 50, Albert Camus fut l'honneur des intellectuels de gauche qui, en masse, s'étaient embrigadés dans le glacial parti de la justice meurtrière. Quand il « fallait » prendre le train de l'Histoire et « justifier » les goulags « nécessaires », lui, Camus, dénonçait les « bouchers de la vérité » et ce « socialisme des potences ». Quand eux mentaient « pour la bonne cause » et disaient « que le ciel est bleu quand il est gris », lui les accusait de prostituer les mots. Quand tout ce beau monde mettait de l'essence marxiste dans le moteur de l'Histoire, lui, l'enfant d'Alger de modeste origine, répétait sa conviction hérétique : « Aucun des maux auxquels prétend remédier le totalitarisme n'est pire que le totalitarisme lui-même. »
ALBERT CAMUS
Il est mort prématurément, il y a presque cinquante ans. La publication de ses œuvres complètes nous invite à relire cet écrivain qui avait fait le choix de la vérité.
Dans les années 50, Albert Camus fut l'honneur des intellectuels de gauche qui, en masse, s'étaient embrigadés dans le glacial parti de la justice meurtrière. Quand il « fallait » prendre le train de l'Histoire et « justifier » les goulags « nécessaires », lui, Camus, dénonçait les « bouchers de la vérité » et ce « socialisme des potences ». Quand eux mentaient « pour la bonne cause » et disaient « que le ciel est bleu quand il est gris », lui les accusait de prostituer les mots. Quand tout ce beau monde mettait de l'essence marxiste dans le moteur de l'Histoire, lui, l'enfant d'Alger de modeste origine, répétait sa conviction hérétique : « Aucun des maux auxquels prétend remédier le totalitarisme n'est pire que le totalitarisme lui-même. »
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