Brétigny : Face au terrorisme ordinaire, c'est la tolérance zéro qui s'impose Vendredi 12 juillet, j'étais sur la route quand la radio annonça le déraillement d'un train, évoquant "une catastrophe en gare de Brétigny-sur-Orge" sans beaucoup plus de détails.
Le soir même à l'hôtel, sur la chaine "i Télé", une rangée serrée de CRS de dos, qui canalisaient une meute de racailles fut la première image de Brétigny sans aucun commentaire correspondant.
J'étais dans l'incompréhension la plus totale : que venait faire "cette manif" dans le drame qui se jouait ? Avais-je mal compris ? Je ne pouvais chercher plus d'infos que celles diffusées sur l'écran. Quelques minutes plus tard, les images se focalisèrent sur l'accident ferroviaire. Concernant l'attroupement incongru en ces circonstances, il n'y eu pas plus de détails de la part des médias institutionnalisés.
Ce n'est qu'une fois rentrée chez moi deux jours plus tard que je découvrais sur les réseaux sociaux, le scandale inimaginable du pillage organisé des six morts et blessés et des caillassages de secouristes. Je n'avais pas cauchemardé : les voyous avaient bien été filmés sur les lieux juste après le drame. On a beau dire que l'info avait circulé par SMS, leur présence quasi immédiate avant l'arrivée des secours laisse perplexe. De nombreux visages étant reconnaissables, ces images ont-elles été censurées ?
Nathalie Michel du syndicat de police Alliance confiait son témoignage pour Europe1
"A 17h30, à l'heure du drame, alors que nos collègues interviennent, ils voient un attroupement de jeunes qui approchent et qui semblent porter secours aux victimes. Très rapidement, ils se rendent compte que ces individus sont présents pour dépouiller les victimes et notamment les premiers cadavres... Nos collègues chassent les individus qui ripostent en caillassant nos collègues et les pompiers..."
Le pire de l'immoralité ayant été atteint, je ne pouvais m’empêcher de faire le rapprochement avec l'attaque du RER D en gare de Grigny (à seulement 9 km et 13 minutes en voiture de Brétigny) avec la quinzaine de voyous dont le procès s'est soldé par du sursis et des avertissements.
Habituée depuis mai 2012 aux Mensonges d'Etat permanents et comme de nombreux observateurs, j'ai évidemment pensé à un sabotage en gare de Brétigny, hypothèse pourtant niée farouchement voire éliminée par les autorités et la SNCF...
Alors que le rapport d'enquête interne à la SNCF a confirmé la thèse d'une éclisse détachée, son président Guillaume Pepy évoque «un événement inédit sur le réseau». Pourtant, nous apprendrons que sur la même ligne à la gare de triage de Saint-Sulpice Laurière, dans le département de la Haute-Vienne, le même jour, le même "évènement" ayant engendré le même déraillement confidentiel d'une locomotive a bien été qualifié de "démontage malveillant" d'éclisse ferroviaire !
Selon le Figaro , suite au déraillement du train, 2000 agents ont été chargés de passer en revue les voies pour vérifier les traverses et tout le système de croisement et d'aiguillage ainsi que le nivellement des terrains pour s'assurer qu'il n'y a pas trop de vibrations.
Le bilan de cet examen ne sera probablement pas dévoilé : admettre que tout est en parfait état de fonctionnement décrédibiliserait définitivement la thèse d'un "réseau ferroviaire secondaire négligé par la droite au profit des TGV". A contrario, révéler d'autres attentats sur les équipements de la SNCF serait source de panique et de désaffection des usagers pour ce mode de transport.
Pour justifier son choix de ne pas rendre public le contenu de ce rapport, Guillaume Pepy a expliqué que le procureur de la République d'Évry lui avait demandé de ne pas le faire. Désormais, il est sujet au secret de l'instruction, a-t-il plaidé.
Face au terrorisme ordinaire, la tolérance zéro
Les autorités tenteront au maximum d’étouffer l'inimaginable en annonçant l'arrestation d'un voleur de téléphone. En vain ! Il est certain qu'officialiser un "terrorisme ordinaire" pourrait inspirer diaboliquement ces faibles d'esprit dépourvus de toute morale dont j'avais aperçu de superbes spécimens sur les images d'i Télé, images prises sur le vif et désormais introuvables.
Mais est-ce bien la seule raison de la tentative de camoufler l'hypothèse d'une bataille du rail d'un nouveau genre ?
Prendre à bras le corps ce problème de plus en plus grave de la délinquance de masse issue de l'immigration n'est pas à la portée d'un gouvernement dont la lâcheté et l'incompétence ne sont plus à démontrer. Pour se faire élire, il a misé sur le communautarisme, la victimisation de glandeurs patentés et la discrimination "positive" au détriment du bien public.
La dictature au pouvoir préfère harceler des veilleurs pacifiques et les emprisonner, ou bien contre toute opposition, attiser la violence de groupuscules fascistes d’extrême gauche hypocritement baptisés "Antifa".
Grigny, Brétigny, Trappes, Brive, les plages estivales mises en coupe réglées par les petits caïds... combien faudra-t-il de victimes, de morts avant qu'on instaure enfin la tolérance zéro ?
Pas assez de places de prison en métropole ? Qu'on les envoie en travaux d'intérêt général... au hasard en Guyanne, Taubira se fera une joie d' y accueillir ses "jeunes". Conditions de détention déplorables dans les prisons ? Qu'on leur fournisse de la javel, de la lessive Saint Marc, des pots de peinture et au boulot !
A part la racaille qui stoppe et rançonne les passagers à Grigny ou fait main basse sur les effets personnels des victimes de Brétigny après avoir peut être provoqué la catastrophe, à qui profite le crime ?
A quoi ?
Le soir même à l'hôtel, sur la chaine "i Télé", une rangée serrée de CRS de dos, qui canalisaient une meute de racailles fut la première image de Brétigny sans aucun commentaire correspondant.
J'étais dans l'incompréhension la plus totale : que venait faire "cette manif" dans le drame qui se jouait ? Avais-je mal compris ? Je ne pouvais chercher plus d'infos que celles diffusées sur l'écran. Quelques minutes plus tard, les images se focalisèrent sur l'accident ferroviaire. Concernant l'attroupement incongru en ces circonstances, il n'y eu pas plus de détails de la part des médias institutionnalisés.
Ce n'est qu'une fois rentrée chez moi deux jours plus tard que je découvrais sur les réseaux sociaux, le scandale inimaginable du pillage organisé des six morts et blessés et des caillassages de secouristes. Je n'avais pas cauchemardé : les voyous avaient bien été filmés sur les lieux juste après le drame. On a beau dire que l'info avait circulé par SMS, leur présence quasi immédiate avant l'arrivée des secours laisse perplexe. De nombreux visages étant reconnaissables, ces images ont-elles été censurées ?
Nathalie Michel du syndicat de police Alliance confiait son témoignage pour Europe1
"A 17h30, à l'heure du drame, alors que nos collègues interviennent, ils voient un attroupement de jeunes qui approchent et qui semblent porter secours aux victimes. Très rapidement, ils se rendent compte que ces individus sont présents pour dépouiller les victimes et notamment les premiers cadavres... Nos collègues chassent les individus qui ripostent en caillassant nos collègues et les pompiers..."
Le pire de l'immoralité ayant été atteint, je ne pouvais m’empêcher de faire le rapprochement avec l'attaque du RER D en gare de Grigny (à seulement 9 km et 13 minutes en voiture de Brétigny) avec la quinzaine de voyous dont le procès s'est soldé par du sursis et des avertissements.
Habituée depuis mai 2012 aux Mensonges d'Etat permanents et comme de nombreux observateurs, j'ai évidemment pensé à un sabotage en gare de Brétigny, hypothèse pourtant niée farouchement voire éliminée par les autorités et la SNCF...
Dans cette France soumise "au changement", on nie la malveillance en vérifiant les boulons.Willy a écrit:
En Espagne, la foule s'est précipitée pour donner son sang, en France la racaille s'est précipitée pour dévaliser les morts........
Simple citoyen, je suis donc un c.. mais je n'aime pas qu'on me le fasse sentir, ça me déprime.
Or, pour ce train qui déraille à Brétigny, à la télé « On » me dit que :
1) Les rails de la gare de Brétigny ont été vérifiés le 4 juillet. Neuf jours après, quatre gros boulons boulonnés très fort qui serraient une éclisse sautent, juste après le passage d'un autre train, qui n’a rien remarqué.
Les quatre boulons bien longs ont gentiment tourné sur eux-mêmes, avec leurs rondelles de serrage !
Tous seuls ?
Tous les quatre en même temps ?
En quelques minutes ?
Braves gros boulons.
(2) L’éclisse une fois déboulonnée pèse 10 kg mais ne tombe pas sur le côté, non... Avec ses petits mollets vaillants, elle enjambe le rail et va s’installer plus loin, juste au milieu de l'aiguillage, là où ça fait dérailler les trains.
Coquine, va !
Vous avez déjà vu de près à quoi ça ressemble une éclisse ?
Des boulons derviches-tourneurs, une éclisse sauteuse : c’est nouveau, ça vient de sortir !
3) Quand les flics arrivent, ils se trouvent en présence d'un groupe de jeunes qui semblent porter secours aux victimes mais les policiers se rendent compte que ces individus sont présents pour dépouiller les victimes et notamment les premiers cadavres !
Juste après l'accident, des projectiles sont lancés vers un camion de pompiers qui arrive pour porter les premiers secours.
Ben quoi ?
Les "jeunes", après avoir renversé le gros, gros cageot en métal, étaient tranquillement en train de ramasser les fruits sur le quai de la gare : pourquoi vient-on les déranger ?
C’est vrai quoi, même les pompiers, y’a plus de respect....
Juste après, on me dit dans la télé que les gens " y z’ont été formidables, qu’on est ému, très ému...."
Et moi j’me dis dans ma p’tite tête que ça s’rait p't-être bien les "jeunes" délogés par la police qui ont joué à l’attaque de la diligence. Comme à la télé mais en mieux, parce qu’y a que les passagers qui ont été tués, pas les indiens…
Six morts, pour quelques portefeuilles, quelques portables ? Pas possible !
C’est nouveau, ça vient de sortir.
Les c…, ça ose tout, c’est à ça qu'on les reconnaît.
Boucle-là, pose pas de questions, pense pas aux boulons et va aux Champs-Élysées, où y’a un beau défilé militaire, avec musique.
Circulez, il n'y a plus rien à voir ! ! ! ! ! ! ! (billet transmis par @bangui40)
Alors que le rapport d'enquête interne à la SNCF a confirmé la thèse d'une éclisse détachée, son président Guillaume Pepy évoque «un événement inédit sur le réseau». Pourtant, nous apprendrons que sur la même ligne à la gare de triage de Saint-Sulpice Laurière, dans le département de la Haute-Vienne, le même jour, le même "évènement" ayant engendré le même déraillement confidentiel d'une locomotive a bien été qualifié de "démontage malveillant" d'éclisse ferroviaire !
Selon le Figaro , suite au déraillement du train, 2000 agents ont été chargés de passer en revue les voies pour vérifier les traverses et tout le système de croisement et d'aiguillage ainsi que le nivellement des terrains pour s'assurer qu'il n'y a pas trop de vibrations.
Le bilan de cet examen ne sera probablement pas dévoilé : admettre que tout est en parfait état de fonctionnement décrédibiliserait définitivement la thèse d'un "réseau ferroviaire secondaire négligé par la droite au profit des TGV". A contrario, révéler d'autres attentats sur les équipements de la SNCF serait source de panique et de désaffection des usagers pour ce mode de transport.
Pour justifier son choix de ne pas rendre public le contenu de ce rapport, Guillaume Pepy a expliqué que le procureur de la République d'Évry lui avait demandé de ne pas le faire. Désormais, il est sujet au secret de l'instruction, a-t-il plaidé.
Face au terrorisme ordinaire, la tolérance zéro
Les autorités tenteront au maximum d’étouffer l'inimaginable en annonçant l'arrestation d'un voleur de téléphone. En vain ! Il est certain qu'officialiser un "terrorisme ordinaire" pourrait inspirer diaboliquement ces faibles d'esprit dépourvus de toute morale dont j'avais aperçu de superbes spécimens sur les images d'i Télé, images prises sur le vif et désormais introuvables.
Mais est-ce bien la seule raison de la tentative de camoufler l'hypothèse d'une bataille du rail d'un nouveau genre ?
Prendre à bras le corps ce problème de plus en plus grave de la délinquance de masse issue de l'immigration n'est pas à la portée d'un gouvernement dont la lâcheté et l'incompétence ne sont plus à démontrer. Pour se faire élire, il a misé sur le communautarisme, la victimisation de glandeurs patentés et la discrimination "positive" au détriment du bien public.
La dictature au pouvoir préfère harceler des veilleurs pacifiques et les emprisonner, ou bien contre toute opposition, attiser la violence de groupuscules fascistes d’extrême gauche hypocritement baptisés "Antifa".
Grigny, Brétigny, Trappes, Brive, les plages estivales mises en coupe réglées par les petits caïds... combien faudra-t-il de victimes, de morts avant qu'on instaure enfin la tolérance zéro ?
Pas assez de places de prison en métropole ? Qu'on les envoie en travaux d'intérêt général... au hasard en Guyanne, Taubira se fera une joie d' y accueillir ses "jeunes". Conditions de détention déplorables dans les prisons ? Qu'on leur fournisse de la javel, de la lessive Saint Marc, des pots de peinture et au boulot !
A part la racaille qui stoppe et rançonne les passagers à Grigny ou fait main basse sur les effets personnels des victimes de Brétigny après avoir peut être provoqué la catastrophe, à qui profite le crime ?
A quoi ?
©Calculette pour revolte.exprimetoi.com
Boutons de partage en marge à gauche en haut. Merci ! 💙💐
url réduite : http://twitts.fr/u/d7x
Boutons de partage en marge à gauche en haut. Merci ! 💙💐
url réduite : http://twitts.fr/u/d7x
Re: Brétigny : Face au terrorisme ordinaire, c'est la tolérance zéro qui s'impose
Mar 30 Juil - 16:45
"Il s'est passé quelque chose entre le 4 juillet et le jour de la catastrophe"
http://www.europe1.fr/France/Bretigny...
Y a-t-il eu un cafouillage dans l'enquête de la SNCF sur le déraillement mortel du train à Brétigny-sur-Orge ?
La question se pose, à en croire un document interne de la SNCF. En effet, dans ce document, un expert de la compagnie ferroviaire émet de sérieux doutes sur les boulons qui ont été ramassés et mis sous scellés. Des boulons qui étaient censés maintenir en place l'éclisse à l'origine du déraillement.
Des questions. L'expert de la SNCF émet l'hypothèse que les boulons retrouvés sur place par les enquêteurs n'étaient peut-être pas ceux qui fixaient l'éclisse. Si son hypothèse se révèle juste, deux options sont alors possibles. Soit ce sont des boulons de rechange qui ont été vissés à l'éclisse, en attendant d'avoir le bon modèle pour effectuer une réparation. Ce cas de figure se présente parfois mais il faut alors s'assurer que le modèle utilisé est compatible avec le matériel et, surtout, il doit être temporaire. Soit, et c'est la seconde possibilité, les enquêteurs ont mis sous scellés des boulons qui n'étaient pas ceux de l'éclisse. Ils se seraient alors tout simplement trompés.
Des boulons déplacés. A l'appui de son propos, l'expert de la SNCF constate que, sur les clichés pris après l'accident, les fameux écrous ne sont jamais à la même place. Ce qui prouve qu'ils ont bien été manipulés, rendant possible l'hypothèse d'un cafouillage sur le terrain.
http://www.europe1.fr/France/Bretigny...
Y a-t-il eu un cafouillage dans l'enquête de la SNCF sur le déraillement mortel du train à Brétigny-sur-Orge ?
La question se pose, à en croire un document interne de la SNCF. En effet, dans ce document, un expert de la compagnie ferroviaire émet de sérieux doutes sur les boulons qui ont été ramassés et mis sous scellés. Des boulons qui étaient censés maintenir en place l'éclisse à l'origine du déraillement.
Des questions. L'expert de la SNCF émet l'hypothèse que les boulons retrouvés sur place par les enquêteurs n'étaient peut-être pas ceux qui fixaient l'éclisse. Si son hypothèse se révèle juste, deux options sont alors possibles. Soit ce sont des boulons de rechange qui ont été vissés à l'éclisse, en attendant d'avoir le bon modèle pour effectuer une réparation. Ce cas de figure se présente parfois mais il faut alors s'assurer que le modèle utilisé est compatible avec le matériel et, surtout, il doit être temporaire. Soit, et c'est la seconde possibilité, les enquêteurs ont mis sous scellés des boulons qui n'étaient pas ceux de l'éclisse. Ils se seraient alors tout simplement trompés.
Des boulons déplacés. A l'appui de son propos, l'expert de la SNCF constate que, sur les clichés pris après l'accident, les fameux écrous ne sont jamais à la même place. Ce qui prouve qu'ils ont bien été manipulés, rendant possible l'hypothèse d'un cafouillage sur le terrain.
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum