"La théorie du GENRE n'existe pas" selon Najat Vallaud-Belkacem
Mar 11 Juin - 20:14
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]" La théorie du genre n'existe pas " affirme Najat Belkacem, sans rire ni ciller. Après le mariage gay, et la parité raison de sa présence au gouvernement, ela voilà qui prépare avec Vincent Peillon la diffusion dans les écoles de "Tomber la culotte" brochure pornographique d'inspiration LGBT...
Donc si j’ai bien compris, le "mariage homosexuel" n’existe pas, c’est le "mariage pour tous", "la théorie du genre n’existe pas" mais "l'égalité fille-garçon dès le plus jeune âge, ça aide" ...
Bref, passons aux choses sérieuses
A quoi pensent les promoteurs de la théorie du genre ?
De l'aveu de C.Taubira, c'est un "changement de civilisation" qui est visé à travers le mariage gay. La sénatrice PS M.Meunier proche de JM. Ayrault ajoutait "Ce qui pose problème, c’est cette famille idéalisée, hétéro-patriarcale-blanche de préférence de plus en plus éloignée des réalités. La loi doit s’adapter." Ça a le mérite d'être clair. Vincent Peillon explique qu'"Il faut être capable d’arracher l’élève à tous les déterminismes, familial, ethnique, social, intellectuel" et pourquoi pas sexuel, on est plus à ça près !.
Ainsi le programme de désagrégation sociétal des communistes sous la IVème république s'intensifie grâce à une gauche socialo-marxiste incapable de se remettre en question. Au nom d'une lutte des classes" complètement ringarde, il faut éradiquer tout ce qui s'apparente à une certaine idée de la bourgeoisie, ses valeurs et ses références. J'imagine que c'est l'abus de séances Desperate Housewives/Bières qui a poussé les fameux "chercheurs scientifiques " dont parle la ministre, à plancher sur la théorie du genre ? On rigole bien dans la fonction publique pour pondre des inepties et tout ça au frais du contribuable... (Pardon pour ce détail affreusement prosaïque mais trop c'est trop !)
L’intention serait sympathique si elle ne consistait ni plus ni moins à se prendre pour Dieu !… Une démence de plus qui si elle est appliquée, fera des générations d'enfants complètement à côté de leurs pompes.
Mais le PS n'en démord pas : après le fantasme de l' homophobie dans les écoles, après avoir nourrit un cathobasching dans les plus hautes sphères du régime , Najat Belkacem nous parle du principe d’"égalité des chances" entre fille et garçon, pour justifier les campagnes de promotion de l’homosexualité auprès de nos enfants.
Parmi les nombreux témoignages, celui d'un (autre) jeune Clément de 20 ans a retenu mon attention comme particulièrement révélateur. Il raconte comment de grosse tête harcelé par ses petits camarades, il est devenu homo à force de s'entendre dire qu'il l'était ! "Quand on est enfant, on a un cerveau comme une éponge. J'ai tout absorbé... J'aurais aimé entendre : 'Sois prudent, fais attention à ce que tu fais de ton corps'. Mais à l'école à 14 ans, j'ai entendu "vas-y, mets un préservatif." Aujourd'hui la théorie du genre voudrait me faire croire que je suis tout d'abord un homosexuel. C'est faux : je suis tout d'abord un homme !."
Un principe angélique basé sur la confusion entre "égalité" et "identité".
Tout comme le mariage gay et la parité au nom d’une égalité pervertie, la théorie du genre présenté comme "l’apprentissage de l'égalité") que les socialistes s'obstinent à imposer au sein de l'école de la République vise à gommer l’ "identité" sexuelle afin de développer l’ "égalité" des chances entre filles et garçons. On remarquera au passage que cela sous-entend que toutes les autres inégalités seraient légitimes.
A l’origine de cette décision d’initier dès le plus jeune âge à cette toxique "théorie du genre", il y a la confusion consciente et inconsciente entre "égalité" et "identité".
Si cet amalgame devient pour le trotskyste Vincent Peillon, une stratégie de subversion particulièrement tordue et mortifère, la confusion nourrit également le fanatisme des "idiots utiles" au cadavre KaGéBiste comme Najat VB. C’est triste à dire mais ceux-là n’ont même pas conscience de l’extrême nocivité de leur fameuse théorie du genre.
L’esprit phagocyté par leur religion socialiste, ils n’ont plus aucun discernement. A noter qu’il y en a aussi à droite : alors que Luc Chatel était ministre de l’Education Nationale, le fascicule "Tomber la culotte" a été financé par nos impôts mais son édition est restée heureusement confidentielle !
C’est pourtant simple :
François Jacob, prix Nobel de physiologie ou médecine, explique parfaitement en 1981 : "Par une singulière équivoque, on cherche à confondre deux notions pourtant bien distinctes : l'identité et l'égalité. L'une réfère aux qualités physiques ou mentales des individus, l'autre à leurs droits sociaux et juridiques. La première relève de la biologie et de l'éducation ; la seconde de la morale et de la politique..."
L’égalité ? Je laisse à notre grand Coluche le soin de l’aborder avec son bon sens habituel : " Dieu a dit, il y aura des hommes blancs, des hommes noirs, il y aura des hommes grands, des hommes petits. Il y aura des hommes beaux, des hommes moches et tous seront égaux, mais ça sera pas facile."
L’identité permet de se différencier sans confusion possible par le nom, prénom, sexe, filiation, date et lieu de naissance, empreinte digitale, empreinte génétique, etc. C’est aussi la conscience que l'on a soi-même, ainsi que par la reconnaissance des autres, de ce que l'on est, de son moi. Elle permet à l'individu de percevoir ce qu'il a d'unique, c'est-à-dire son individualité.
L’identité est intouchable. Nul, pas même un socialiste ne peut décider du sexe, de la bonne santé ou du handicap et maladie… A moins bien sûr de pratiquer l’eugénisme cher aux idéologies fascistes : il est vrai que les socialistes ont débridé la GPA et la PMA à l’étranger avec la circulaire Taubira reconnaissant les enfants nés de mères-porteuses.
Une fois généralisées, ces pratiques favoriseront l’élimination des individus hors normes en vigueur ou non conformes à la demande. Et ça, c’est la réalité avec ce "droit à l’enfant" de la loi Taubira au lieu du "droit de l’enfant". C’est une angoisse fondée quand vous savez que le sperme est classé et valorisé en fonction des "qualités" du donneur. Qu’advient-il de l’embryon ou de l’enfant à naître de la porteuse étrangère qui serait suspecté de malformations ?
"L’égalité des chances" parlons-en : Cela pourrait être un joli oxymore s’il n’y avait pas un contre-sens évident, la "chance" étant par définition un système aléatoire. Dans cette loterie existentielle, il ne peut y avoir d’égalité dans les résultats mais uniquement dans la répartition statistique de ceux-ci.
L'égalité est soit "protection contre l’arbitraire" soit "mythe pour le progrès social"
Émanent de la même perversion idéologique de la théorie du genre, d'une part le mariage homosexuel qui nie le principe universel de la filiation et de la famille, d’autre part la parité qui remplace le mérite et la compétence.
Plutôt que de reconnaître par une union civile et de respecter l’attachement réciproque de deux homosexuels, on dénature le mariage qui protège l’intégrité de la "famille" du foyer au sens universel et immémorial.
Plutôt que de concevoir la "reconnaissance du mérite" comme un système incitatif de motivation et d'encouragement délibérément orienté vers ce qui fait progresser l'ensemble de la société, on instaure la parité. Le genre remplace la compétence, l'expérience et le travail.
Selon l'éminent constitutionnaliste le Président Luchaire dans son ouvrage sur la protection des droits et libertés, l’égalité réelle relevant de l’utopie, elle apparaît comme "une protection contre l’arbitraire" pour les opposants à la théorie du genre (et au mariage gay) et "un mythe pour le progrès social" dans l’esprit des promoteurs de la théorie du genre (pouvoir socialiste et pro-mariage gay.) C’est le paradoxe de la discrimination positive où l’Etat s’obstine à vouloir transformer le principe d’égalité en droit à l’égalité.
La théorie du genre enseignée dans nos écoles n'est qu'un symptôme. Jamais rien de nouveau dans l’idéologie marxiste de la bienpensance. Comme le dit si bien Maurice Druon
"Au nom de l'égalité des chances, on a établi l'égalité des malchances."
Dans la pure lignée du rêve réenchanté:
source Retranscription du témoignage de Clément 21 ans sous spoiler ci dessous.
Donc si j’ai bien compris, le "mariage homosexuel" n’existe pas, c’est le "mariage pour tous", "la théorie du genre n’existe pas" mais "l'égalité fille-garçon dès le plus jeune âge, ça aide" ...
Bref, passons aux choses sérieuses
A quoi pensent les promoteurs de la théorie du genre ?
De l'aveu de C.Taubira, c'est un "changement de civilisation" qui est visé à travers le mariage gay. La sénatrice PS M.Meunier proche de JM. Ayrault ajoutait "Ce qui pose problème, c’est cette famille idéalisée, hétéro-patriarcale-blanche de préférence de plus en plus éloignée des réalités. La loi doit s’adapter." Ça a le mérite d'être clair. Vincent Peillon explique qu'"Il faut être capable d’arracher l’élève à tous les déterminismes, familial, ethnique, social, intellectuel" et pourquoi pas sexuel, on est plus à ça près !.
Ainsi le programme de désagrégation sociétal des communistes sous la IVème république s'intensifie grâce à une gauche socialo-marxiste incapable de se remettre en question. Au nom d'une lutte des classes" complètement ringarde, il faut éradiquer tout ce qui s'apparente à une certaine idée de la bourgeoisie, ses valeurs et ses références. J'imagine que c'est l'abus de séances Desperate Housewives/Bières qui a poussé les fameux "chercheurs scientifiques " dont parle la ministre, à plancher sur la théorie du genre ? On rigole bien dans la fonction publique pour pondre des inepties et tout ça au frais du contribuable... (Pardon pour ce détail affreusement prosaïque mais trop c'est trop !)
L’intention serait sympathique si elle ne consistait ni plus ni moins à se prendre pour Dieu !… Une démence de plus qui si elle est appliquée, fera des générations d'enfants complètement à côté de leurs pompes.
Mais le PS n'en démord pas : après le fantasme de l' homophobie dans les écoles, après avoir nourrit un cathobasching dans les plus hautes sphères du régime , Najat Belkacem nous parle du principe d’"égalité des chances" entre fille et garçon, pour justifier les campagnes de promotion de l’homosexualité auprès de nos enfants.
Parmi les nombreux témoignages, celui d'un (autre) jeune Clément de 20 ans a retenu mon attention comme particulièrement révélateur. Il raconte comment de grosse tête harcelé par ses petits camarades, il est devenu homo à force de s'entendre dire qu'il l'était ! "Quand on est enfant, on a un cerveau comme une éponge. J'ai tout absorbé... J'aurais aimé entendre : 'Sois prudent, fais attention à ce que tu fais de ton corps'. Mais à l'école à 14 ans, j'ai entendu "vas-y, mets un préservatif." Aujourd'hui la théorie du genre voudrait me faire croire que je suis tout d'abord un homosexuel. C'est faux : je suis tout d'abord un homme !."
Un principe angélique basé sur la confusion entre "égalité" et "identité".
Tout comme le mariage gay et la parité au nom d’une égalité pervertie, la théorie du genre présenté comme "l’apprentissage de l'égalité") que les socialistes s'obstinent à imposer au sein de l'école de la République vise à gommer l’ "identité" sexuelle afin de développer l’ "égalité" des chances entre filles et garçons. On remarquera au passage que cela sous-entend que toutes les autres inégalités seraient légitimes.
A l’origine de cette décision d’initier dès le plus jeune âge à cette toxique "théorie du genre", il y a la confusion consciente et inconsciente entre "égalité" et "identité".
Si cet amalgame devient pour le trotskyste Vincent Peillon, une stratégie de subversion particulièrement tordue et mortifère, la confusion nourrit également le fanatisme des "idiots utiles" au cadavre KaGéBiste comme Najat VB. C’est triste à dire mais ceux-là n’ont même pas conscience de l’extrême nocivité de leur fameuse théorie du genre.
L’esprit phagocyté par leur religion socialiste, ils n’ont plus aucun discernement. A noter qu’il y en a aussi à droite : alors que Luc Chatel était ministre de l’Education Nationale, le fascicule "Tomber la culotte" a été financé par nos impôts mais son édition est restée heureusement confidentielle !
C’est pourtant simple :
François Jacob, prix Nobel de physiologie ou médecine, explique parfaitement en 1981 : "Par une singulière équivoque, on cherche à confondre deux notions pourtant bien distinctes : l'identité et l'égalité. L'une réfère aux qualités physiques ou mentales des individus, l'autre à leurs droits sociaux et juridiques. La première relève de la biologie et de l'éducation ; la seconde de la morale et de la politique..."
L’égalité ? Je laisse à notre grand Coluche le soin de l’aborder avec son bon sens habituel : " Dieu a dit, il y aura des hommes blancs, des hommes noirs, il y aura des hommes grands, des hommes petits. Il y aura des hommes beaux, des hommes moches et tous seront égaux, mais ça sera pas facile."
L’identité permet de se différencier sans confusion possible par le nom, prénom, sexe, filiation, date et lieu de naissance, empreinte digitale, empreinte génétique, etc. C’est aussi la conscience que l'on a soi-même, ainsi que par la reconnaissance des autres, de ce que l'on est, de son moi. Elle permet à l'individu de percevoir ce qu'il a d'unique, c'est-à-dire son individualité.
L’identité est intouchable. Nul, pas même un socialiste ne peut décider du sexe, de la bonne santé ou du handicap et maladie… A moins bien sûr de pratiquer l’eugénisme cher aux idéologies fascistes : il est vrai que les socialistes ont débridé la GPA et la PMA à l’étranger avec la circulaire Taubira reconnaissant les enfants nés de mères-porteuses.
Une fois généralisées, ces pratiques favoriseront l’élimination des individus hors normes en vigueur ou non conformes à la demande. Et ça, c’est la réalité avec ce "droit à l’enfant" de la loi Taubira au lieu du "droit de l’enfant". C’est une angoisse fondée quand vous savez que le sperme est classé et valorisé en fonction des "qualités" du donneur. Qu’advient-il de l’embryon ou de l’enfant à naître de la porteuse étrangère qui serait suspecté de malformations ?
"L’égalité des chances" parlons-en : Cela pourrait être un joli oxymore s’il n’y avait pas un contre-sens évident, la "chance" étant par définition un système aléatoire. Dans cette loterie existentielle, il ne peut y avoir d’égalité dans les résultats mais uniquement dans la répartition statistique de ceux-ci.
L'égalité est soit "protection contre l’arbitraire" soit "mythe pour le progrès social"
Émanent de la même perversion idéologique de la théorie du genre, d'une part le mariage homosexuel qui nie le principe universel de la filiation et de la famille, d’autre part la parité qui remplace le mérite et la compétence.
Plutôt que de reconnaître par une union civile et de respecter l’attachement réciproque de deux homosexuels, on dénature le mariage qui protège l’intégrité de la "famille" du foyer au sens universel et immémorial.
Plutôt que de concevoir la "reconnaissance du mérite" comme un système incitatif de motivation et d'encouragement délibérément orienté vers ce qui fait progresser l'ensemble de la société, on instaure la parité. Le genre remplace la compétence, l'expérience et le travail.
Selon l'éminent constitutionnaliste le Président Luchaire dans son ouvrage sur la protection des droits et libertés, l’égalité réelle relevant de l’utopie, elle apparaît comme "une protection contre l’arbitraire" pour les opposants à la théorie du genre (et au mariage gay) et "un mythe pour le progrès social" dans l’esprit des promoteurs de la théorie du genre (pouvoir socialiste et pro-mariage gay.) C’est le paradoxe de la discrimination positive où l’Etat s’obstine à vouloir transformer le principe d’égalité en droit à l’égalité.
La théorie du genre enseignée dans nos écoles n'est qu'un symptôme. Jamais rien de nouveau dans l’idéologie marxiste de la bienpensance. Comme le dit si bien Maurice Druon
"Au nom de l'égalité des chances, on a établi l'égalité des malchances."
Dans la pure lignée du rêve réenchanté:
Najat Vallaud Belkacem a écrit:La théorie du genre n'existe pas. Ce qui existe sont les études de genre qui étudient la façon dont la société organise une situation d'inégalité entre les hommes et les femmes. En revanche, ce que nous voulons introduire à l'école, c'est un apprentissage de l'égalité entre les filles et les garçons qui, à cause de mécanismes intériorisés dès le plus jeune âge, les unes et les autres ne se destinent pas aux mêmes opportunités professionnelles, aux mêmes compétences, aux mêmes capacités... Nous voulons offrir à chaque individu quel que soit son sexe les mêmes opportunités, les mêmes chances de réussite dans la vie, et donc développer l'égalité fille garçon dès le plus jeune âge ça aide.... source
source Retranscription du témoignage de Clément 21 ans sous spoiler ci dessous.
- Spoiler:
- Petit j'étais rejeté par mes camarades de classe parce que j'étais l'intello de service, le marginal. Du coup je suis allé vers les personne les plus accueillantes et il s'est trouvé que c'était les filles. les garçons sont très durs dans leurs propos. et qd on ne fréquent que des filles on est forcément homo. d'où est venu leur regard. On M'a dit bein voilà tu es homo tu es PD. Du coup je me suis demandé je le suis ou pas et ne savait comment faire à cause des tabous ils m'ont fait souffrir car je ne savais pas comment la vivre mes pulsions
sur internet on tombe sur les images porno. Qd on est enfant on a un cerveau comme une éponge J'ai tout absorbé Ces images m'ont bcp fait souffrir : finalement c’était possible puisque yen a d'autres qui le font et ils vivent leur acte sexuel ça parait être un plaisir donc pourquoi pas c'est une voie comme une autre
En fait à la base je n'étais pas prédéterminé à être homo mais ce sont toutes ces images, toutes ces insultes, toutes ces étiquettes qui m'ont été collées qui m'ont conduit à l'homosexualité. C'est une blessure parce que ça m'a enfermé ds kk chose qui n'était pas moi forcément qui était tabou que je ne pouvais pas exprimer. un enfant est un être fragile, ds sa fragilité il y a le corps qui est pleinement à respecter et il faut apprendre à l'apprivoiser pour respecter sa conscience ce ui vit ds ce corps parce que la chair est marquée par tout les éléments extérieurs. tout ce que j'ai vécu ds cette sexualité à marqué mon corps et j'ai des images qui reviennent en permanence On se souvient de tout ce qu'on fait subir à notre corps
Les mots que j'aurais aimé entendre :J'aurais aimé entendre Sois prudent, fais attention à ce que tu fais de ton corps mais à l'école à 14 ans, j'ai entendu vas-y, met un préservatif. C'est pas juste de dire ça à un enfant de lui dire le corps c'est rien c'est un objet, fais ce que tu veux de ton corps, fais ce que tu veux de ton coeur de tes sentiments de ta conscience... mais tout est intimement liés mais non le corps c'est là où réside la vie et mon cœur également. Qd on est blessé au cœur c'est au corps qu'on est blessé. On veut nous faire croire qu'on peut tout dissocier
quelque soit l’orientation sexuelle, le respect du corps est prioritaire qu'on soit hétéro ou homo.
Aujourd'hui, je pense être une victime du gender. Le gender voudrait me faire croire que je suis tout d'abord un homosexuel. C'est faux : je suis tout d'abord un homme. Au sein de la MPT j'ai été accueilli en tant qu'homme C'est ce que je suis vraiment
Je veux dire merci à la manif pour tous car ça a libéré la parole des homosexuels et ça a libéré ma parole par rapport à ma sexualité
Il y a un accueil énorme qui est fait à toute personne quelque soit son orientation sexuelle.
La MPT pour moi c'est un mouvement familial
Magnifique coup de gueule du père Daniel-Ange (80 ans)
Mer 12 Juin - 15:57
Magnifique coup de gueule du père Le 3 juin 2013, dans Ecclesia Magazine (Radio Notre-Dame), le père Daniel-Ange (80 ans), bien connu des Veilleurs, pousse un cri de colère.
"Ne touchez pas aux familles et aux enfants !"
"Ne touchez pas aux familles et aux enfants !"
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