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CalculetteAdministrateur
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L'impact de la Crise sur notre déficit , mineur ou majeur ?
Mer 7 Déc - 20:52
Je relisais ce fameux extrait de la Cours des Comptes ( dirigée par Didier Migaud (PS) nommé par Sarkozy dans le cadre de sa politique d'ouverture)
La fameuse petite phrase brandie par le PS comme le petit livre rouge, pour minimiser l'impact de la crise, et ainsi faire porter sur Sarkozy, la responsabilité de nos angoisses.
Quelques remarques, sur ce qui la précède
- Si nous n'avons pas pu dès 2010 être aussi réactifs que les allemands c'est simplement parce que contrairement à eux, il fallait encore essuyer les 35h, la réforme tardive des retraites, et la pléthore des effectifs dans la fonction publique.
- 2010 les dépenses publiques n'augmentent plus, surtout grâce à ? Je vous le donne en mille :
"ce ralentissement tient pour les deux tiers à la baisse des dépenses
des collectivités territoriales, notamment de leurs investissements, en
forte rupture par rapport à leur tendance antérieure."
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] Depuis le début de son quinquennat, Sarkozy a décidé le minimum de sacrifices pour préserver la protection sociale, les retraites, l'emploi, bref... les français.
S'il a fait le choix de maintenir le niveau de prestations sociales élevées, c'est pour que les français traversent la crise le moins douloureusement possible.
Pour s'en convaincre il suffit de regarder la ministre des affaires sociales, Elsa Fornero en pleur, incapable d'annoncer le plan d'austérité au peuple italien.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] Mais en même temps, Sarkozy a dû faire face au creusement de la dette due à la baisse de la croissance.
(De leur côté, les socialistes au moment de la crise en 2008 et 2009 voulaient provoquer la relance en baissant la TVA et en augmentant les prestations sociales c'est à dire en creusant les déficits. Aubry disait qu'il fallait s'inspirer des espagnols !! En Espagne aujourd'hui, ils ont plus de 20% de chômage dont 45% chez les jeunes !!)
> Entre autre la "niche Copé", diabolisée par les socialos, est un outil de compétitivité et de stabilité des investissements.
Et c'est le CPO de la Cours des Comptes, Didier Migaud (PS) qui le dit à travers deux rapports en 2009 et 2010:
" il( ce dispositif) est analogue à ceux existant à l'étranger" (21 pays de l'OCDE sur 29) et évite les cessions, les capitaux étant plus faciles à délocaliser que les usines.
"Sa remise en cause n'est pas souhaitable" la France ayant gagné en attractivité depuis 2007.
Cela entraine plus d'activité, plus d'emploi, donc plus de rentrées fiscales et in fine plus de redistribution !
Le jour où la gauche pigera ça, ce sera un grand pas pour l'humanité ! [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Dans le même esprit,
- "Le déficit a, en revanche, été aggravé de 0,4 point de PIB par les
baisses d’impôts, notamment la suppression de la taxe"
la suppression de la taxe professionnelle a protégé les plus modestes.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] La crise explique au plus 38 % du déficit. Ce déficit est surtout de nature structurelle et résulte largement de mesures discrétionnaires Que dit la Cours de Comptes : C'est pourtant clair ...
La crise explique au plus 38 % du déficit. Ce déficit (en totalité) est surtout de nature structurelle (résultant de 30ans de déficit de gauche comme de droite, d'irresponsabilité et inadaptation aux risques conjoncturels) et résulte largement de mesures discrétionnaires (gaspillages inconséquents et aveuglement dans les collectivités locales notamment)
Sur les 62% qui restent quelle est la part du gaspillages des collectivités locales, des institutions couteuses et inutiles comme le sénat par exemple, des subventions de l’État aux syndicats mafieux, etc... ?
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] Au contraire de tous ses prédécesseurs, Sarkozy est le premier à conduire des réformes courageuses (parce que impopulaires) pour inverser la tendance ( réforme des retraites, des collectivités, du travail, réforme fiscale, etc...)
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] Sarkozy est le premier a appeler à l'union nationale pour faire face à la crise...
Les socialos s'obstinent à plomber la confiance des investisseurs internationaux en ne signant pas la Règle d'Or
pour des raison purement électoralistes.
Perso que j'entends BFM, eTV, les actualités ou lis n'importe quel média, je pense à nos ancêtres qui écoutaient la TSF planqués dans leur salon, entre 39 et 45.
Nous sommes en guerre contre la crise et le système financier mondial !
Sarkozy et son équipe lutte au front pour nous protéger de la misère en sauvant la France de la banqueroute.
La fameuse petite phrase brandie par le PS comme le petit livre rouge, pour minimiser l'impact de la crise, et ainsi faire porter sur Sarkozy, la responsabilité de nos angoisses.
Quelques remarques, sur ce qui la précède
- Si nous n'avons pas pu dès 2010 être aussi réactifs que les allemands c'est simplement parce que contrairement à eux, il fallait encore essuyer les 35h, la réforme tardive des retraites, et la pléthore des effectifs dans la fonction publique.
- 2010 les dépenses publiques n'augmentent plus, surtout grâce à ? Je vous le donne en mille :
"ce ralentissement tient pour les deux tiers à la baisse des dépenses
des collectivités territoriales, notamment de leurs investissements, en
forte rupture par rapport à leur tendance antérieure."
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] Depuis le début de son quinquennat, Sarkozy a décidé le minimum de sacrifices pour préserver la protection sociale, les retraites, l'emploi, bref... les français.
S'il a fait le choix de maintenir le niveau de prestations sociales élevées, c'est pour que les français traversent la crise le moins douloureusement possible.
Pour s'en convaincre il suffit de regarder la ministre des affaires sociales, Elsa Fornero en pleur, incapable d'annoncer le plan d'austérité au peuple italien.
ICI, la VIDEO, poignant!Le chef du gouvernement Mario Monti a alors pris la parole en soulignant avec une légère pointe d'ironie combien «la ministre a transmis avec efficacité la notion de sacrifices».
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] Mais en même temps, Sarkozy a dû faire face au creusement de la dette due à la baisse de la croissance.
(De leur côté, les socialistes au moment de la crise en 2008 et 2009 voulaient provoquer la relance en baissant la TVA et en augmentant les prestations sociales c'est à dire en creusant les déficits. Aubry disait qu'il fallait s'inspirer des espagnols !! En Espagne aujourd'hui, ils ont plus de 20% de chômage dont 45% chez les jeunes !!)
> Entre autre la "niche Copé", diabolisée par les socialos, est un outil de compétitivité et de stabilité des investissements.
Et c'est le CPO de la Cours des Comptes, Didier Migaud (PS) qui le dit à travers deux rapports en 2009 et 2010:
" il( ce dispositif) est analogue à ceux existant à l'étranger" (21 pays de l'OCDE sur 29) et évite les cessions, les capitaux étant plus faciles à délocaliser que les usines.
"Sa remise en cause n'est pas souhaitable" la France ayant gagné en attractivité depuis 2007.
Cela entraine plus d'activité, plus d'emploi, donc plus de rentrées fiscales et in fine plus de redistribution !
Le jour où la gauche pigera ça, ce sera un grand pas pour l'humanité ! [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Dans le même esprit,
- "Le déficit a, en revanche, été aggravé de 0,4 point de PIB par les
baisses d’impôts, notamment la suppression de la taxe"
la suppression de la taxe professionnelle a protégé les plus modestes.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] La crise explique au plus 38 % du déficit. Ce déficit est surtout de nature structurelle et résulte largement de mesures discrétionnaires Que dit la Cours de Comptes : C'est pourtant clair ...
La crise explique au plus 38 % du déficit. Ce déficit (en totalité) est surtout de nature structurelle (résultant de 30ans de déficit de gauche comme de droite, d'irresponsabilité et inadaptation aux risques conjoncturels) et résulte largement de mesures discrétionnaires (gaspillages inconséquents et aveuglement dans les collectivités locales notamment)
Sur les 62% qui restent quelle est la part du gaspillages des collectivités locales, des institutions couteuses et inutiles comme le sénat par exemple, des subventions de l’État aux syndicats mafieux, etc... ?
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Les socialos s'obstinent à plomber la confiance des investisseurs internationaux en ne signant pas la Règle d'Or
pour des raison purement électoralistes.
Perso que j'entends BFM, eTV, les actualités ou lis n'importe quel média, je pense à nos ancêtres qui écoutaient la TSF planqués dans leur salon, entre 39 et 45.
Nous sommes en guerre contre la crise et le système financier mondial !
Sarkozy et son équipe lutte au front pour nous protéger de la misère en sauvant la France de la banqueroute.
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