Boîte postale pour Nicolas Sarkozy

Boîte postale de Nicolas Sarkozy

Le 7 mai 2012,

Cher Nicolas,

Après six mois de lutte acharnée en milieux hostiles de gauche ou d'extrême droite sur la toile, je vous dédie  ce site   pour vous exprimer toute ma gratitude et mon admiration pour le travail accompli pendant votre quinquennat.

Merci et bravo Nicolas pour tout ce que vous avez fait pour la France et pour les Français. Merci aussi à votre si charmante épouse pour sa patience et son soutien à vos côtés.
Merci à votre équipe gouvernementale si courageuse et déterminée.
Votre stoïcisme face aux attaques sordides que vous avez supportées reste un exemple pour tous.


En hommage à votre quinquennat, pour sourire un peu, ce modeste présent (modeste mais si sincère) librement inspiré de l'appel du 18 juin 1940 du Général de Gaulle. Vous ne le verrez sans doute pas, je le regrette. Vous devez recevoir tant et tant de messages de sympathie... Je  poste le mien ici, comme une bouteille à la mer...

Malgré votre appel d'une rare élégance au soir du 6 mai, l'élu ne pourra jamais vous remplacer à l’Élysée, ni dans ma tête ni dans mon cœur. Nous attendons tous votre retour sur la scène  politique.
D'ici là, la lutte continue. En route pour les législatives.
Sus aux imposteurs !

Moi aussi, je vous embrasse Nicolas !
Véronique alias Calculette

Bonjour M. le Président

c'est avec un immense plaisirs que je vous rejoins....

Cordialement

Johnny MONNIER

Billet doux à Nicolas


Cher Nicolas ,
je sais que tu trépignes d'impatience et d'indignation devant les âneries ( cependant subtiles , retorses et machiavéliques )hollandaises.
Je sens bien que le prurit de l'action te taraude
Mais je te sais trop avisé et bon politique pour croire sérieusement que tu dévoiles déjà tes batteries si tu as vraiment l'intention d'obtenir ta revanche en 2017.
je ne t'apprendrai pas que les amis répandent des confidences , des impressions, des sentiments dans le seul but de ranimer les haines enfouies au fond des cœurs comme des braises silencieuses.
Il faut bien souffler un peu dessus pour qu'un rideau de feu se déploie devant toi lorsque tu voudras réapparaître.
Ce seront les plus chers et dévoués amis d'hier qui verseront demain de l'huile sur le feu de ton bûcher, prêts sans vergogne à toutes les trahisons et tous les reniements
Cher Nicolas , nous sommes nombreux à te souhaiter une résurrection politique , mais pour ne pas risquer une défaite humiliante, pour que ta victoire soit totale, absolue, triomphante, je t'en supplie, cultive l'absence, le silence,la discrétion, le recul, la hauteur.
laisse les médiocres, les vendus, les renégats , les compromis se maculer dans la fange.
laisse le Nouveau Messie , dit Dindon Premier, monarque des cocus, se vautrer d'échec et échec ,de râteau en râteau, finir son quinquennat en volaille déplumée, rebondie, au duvet raréfié.
Cher Nicolas, sois le sage, sois le patient ,sois le stratège.
ceux qui t' aiment fidèlement en silence, n'en attendent pas moins de toi

Dire que tout à été parfait sous votre présidence serait un euphémisme. Mais vous avez été appelé à gouverner alors que la nation, mais aussi le monde, traversait des crises successives difficiles. Je pense sincèrement que lors de votre premier quinquennat vous avez manquez d'agressivité dans la mise en place des réformes utiles au bien être de votre peuple, cela dans un souci électorale bien compréhensible. Je suis certain que si les Français vous avait fait confiance votre deuxième mandat n'aurait pas été la copie du premier qui reste, malgré tout une excellente présidence.

Je vous ai toujours comparé à un "Napoléon" des temps modernes. Le peuple de France, et uniquement de France sait que vous êtes innocent de toutes les ignominies dont on vous accuse. Il est bien évident que ces accusations mensongères émanent exclusivement de la couleur rose (fonctionnariat, presse sous toutes ses formes, et gens issus de l'immigration) et cela dans un seul but, vous empêcher de revenir pour pouvoir préserver leur petit business avant de livrer le pays au cahot. 

Revenez, monsieur le Président, revenez, mais seulement pour sauver notre pays de la désintégration en prenant dès votre arrivée, toutes, je dis bien TOUTES les mesures qui s'imposent sans la moindre faiblesse pour remettre le pays sur les rails de la grandeur qu'il n'aurait jamais du quitter. Si vous voulez savoir comment j'envisage cet avenir contactez moi je vous ferais connaître mon point de vue. Si tel n'est pas votre volonté, alors il ne faut pas revenir, je ne vous en voudrais pas, et cela me fera moins mal qu'un nouvel échec.

Soyez assuré, monsieur le Président, de mon plus profond respect.

Georges BLANCHARD