SONDAGE #exMuslim- SOS ex-musulmans - En France, l'apostaphobie est un délit
Ven 21 Oct - 14:52
De nombreux ex-musulmans sont en butte à un environnement hostile au sein même de leur milieu culturel d'origine. Tandis que les atteintes permanentes à leur intégrité psychique comme physique devraient être dénoncées et condamnées, elles sont volontairement ignorées par les pouvoirs publics et ainsi cachées à l'opinion publique. Qu'en pensez vous ?
Merci de répondre au sondage juste au dessus de ce billet et de bien vouloir le faire circuler. Nos concitoyens français ex-musulmans, nous tous qui sommes attachés à la "liberté, égalité et fraternité" vous sauront gré de votre solidarité.
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Il existe en France une souffrance qui touche de plus en plus de nos compatriotes, dont aucun média ni politique ne parle jamais et qui exige pourtant de la part de l’État une intervention rapide et ferme. Il s'agit du sort réservé aux ex-musulmans qui souhaitent abandonner officiellement l’islam. "Apostats", ils sont désignés à la vindicte de leur famille, de la rue musulmane et de toute la communauté.
En parfaite opposition avec nos libertés fondamentales de conscience, de religion et d'expression, la loi islamique (charia ou sharia) condamne à mort ses apostats, conformément à de nombreuses imprécations mahométanes dans le coran et à l'exemple parfait du prophète relaté dans les hadiths.
Chez nous en France, cela se traduit par une pression psychologique quotidienne sur les "dissidents" de la part de l'oumma la communauté musulmane ré-islamisée... Pour vivre à peu près normalement, ils sont obligés de se cacher ou de "faire semblant". Les témoignages personnels s'accumulent: mépris, harcèlement, humiliation, bannissement par l'entourage, séquestration par la famille...jusqu'aux menaces de mort. Pour s'en convaincre, il suffit sur Tweeter de parcourir la tweetline de @georgesahmad "À Coran Ouvert" qui regorge de témoignages bouleversants d'ex musulmans.
Or les sanctions pénales ne frappent les bourreaux que lorsqu'il est trop tard, et encore... leur responsabilité n'est jamais établie, a fortiori dans le cas d'un suicide. Quant à la motivation "culturelle ou cultuelle", elle est soigneusement occultée, ignorée sous prétexte que l’État "neutre" n'a pas à s'immiscer dans une affaire "religieuse".
Pourtant, la Cour européenne des droits de l’homme confirmait solennellement dès le 13 février 2003, que la loi islamique (charia) qui notamment interdit strictement l'apostasie était incompatible avec la démocratie et les droits de l’homme "eu égard notamment à ses règles de droit pénal et de procédure pénale, à la place qu’il réserve aux femmes dans l’ordre juridique et à son intervention dans tous les domaines."
Entre la théocratie islamique et leur pays, les ex-musulmans ont définitivement choisi la France ! Allons-nous les abandonner dans une situation intenable, inadmissible au pays des Droits de l'Homme ?
Il faut que cela cesse ! Il faut que les ex-musulmans apostats puissent vivre sereinement, en toute sécurité, où qu'ils soient, comme n'importe quel autre citoyen français. Il faut que les sanctions contre les agresseurs et harceleurs soient exemplaires afin que ces mentalités changent enfin.
Calculette@LaMutine
Boutons de partage en marge. Merci ! 💙💐
Merci de répondre au sondage juste au dessus de ce billet et de bien vouloir le faire circuler. Nos concitoyens français ex-musulmans, nous tous qui sommes attachés à la "liberté, égalité et fraternité" vous sauront gré de votre solidarité.
SONDAGE
Afin de garantir la sérénité et la sécurité des ex-musulmans,
l’État doit-il en priorité
Afin de garantir la sérénité et la sécurité des ex-musulmans,
l’État doit-il en priorité
- être préventif
Créer un Observatoire officiel de l'apostaphobie afin de recenser les agressions et d'organiser la défense de ses victimes,
Lancer une campagne nationale de sensibilisation ciblée en particulier vers la communauté concernée, - être répressif
Décréter officiellement l'apostaphobie délictueuse, pouvant entrainer des poursuites judiciaires
Prévoir des sanctions pénales avec circonstances aggravantes pour atteinte à la liberté religieuse et intellectuelle de l'ex-musulman, - ne rien faire et laisser dire
Ne pas s'en mêler, attendre et ne rien faire pour remédier à cette cruelle anomalie dans une démocratie républicaine.
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Il existe en France une souffrance qui touche de plus en plus de nos compatriotes, dont aucun média ni politique ne parle jamais et qui exige pourtant de la part de l’État une intervention rapide et ferme. Il s'agit du sort réservé aux ex-musulmans qui souhaitent abandonner officiellement l’islam. "Apostats", ils sont désignés à la vindicte de leur famille, de la rue musulmane et de toute la communauté.
En parfaite opposition avec nos libertés fondamentales de conscience, de religion et d'expression, la loi islamique (charia ou sharia) condamne à mort ses apostats, conformément à de nombreuses imprécations mahométanes dans le coran et à l'exemple parfait du prophète relaté dans les hadiths.
Chez nous en France, cela se traduit par une pression psychologique quotidienne sur les "dissidents" de la part de l'oumma la communauté musulmane ré-islamisée... Pour vivre à peu près normalement, ils sont obligés de se cacher ou de "faire semblant". Les témoignages personnels s'accumulent: mépris, harcèlement, humiliation, bannissement par l'entourage, séquestration par la famille...jusqu'aux menaces de mort. Pour s'en convaincre, il suffit sur Tweeter de parcourir la tweetline de @georgesahmad "À Coran Ouvert" qui regorge de témoignages bouleversants d'ex musulmans.
Or les sanctions pénales ne frappent les bourreaux que lorsqu'il est trop tard, et encore... leur responsabilité n'est jamais établie, a fortiori dans le cas d'un suicide. Quant à la motivation "culturelle ou cultuelle", elle est soigneusement occultée, ignorée sous prétexte que l’État "neutre" n'a pas à s'immiscer dans une affaire "religieuse".
Pourtant, la Cour européenne des droits de l’homme confirmait solennellement dès le 13 février 2003, que la loi islamique (charia) qui notamment interdit strictement l'apostasie était incompatible avec la démocratie et les droits de l’homme "eu égard notamment à ses règles de droit pénal et de procédure pénale, à la place qu’il réserve aux femmes dans l’ordre juridique et à son intervention dans tous les domaines."
Entre la théocratie islamique et leur pays, les ex-musulmans ont définitivement choisi la France ! Allons-nous les abandonner dans une situation intenable, inadmissible au pays des Droits de l'Homme ?
Il faut que cela cesse ! Il faut que les ex-musulmans apostats puissent vivre sereinement, en toute sécurité, où qu'ils soient, comme n'importe quel autre citoyen français. Il faut que les sanctions contre les agresseurs et harceleurs soient exemplaires afin que ces mentalités changent enfin.
Calculette@LaMutine
Boutons de partage en marge. Merci ! 💙💐
- Coran 4:89 > "Ils aimeraient que vous fussiez mécréants tout comme ils sont mécréants: alors vous seriez tous égaux! Ne prenez donc pas d'amis chez eux, jusqu'à ce qu'ils émigrent dans le sentier de Dieu. Mais s'ils tournent le dos, saisissez-les alors, et tuez-les où que vous les trouviez; et ne prenez chez eux ni ami ni secoureur"
- Récits du Sahih Bukhari sur la peine de mort pour apostasie sélectionnés par Alain Jean-Mairet via Sami Aldeeb.
- Code Pénal Article 222-3
- Cour européenne des Droits de l'Homme - Rapport 2003
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