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Calculette
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Carton Rouge La subversion du KGB dès 45 déchaîne l'Islamisation de l'Occident

Ven 29 Mai - 13:57
Aussi publié sur Politique Matin
La subversion du KGB dès 45 déchaîne l'Islamisation de l'Occident Stalin10
La subversion du KGB dès 45 déchaîne l'Islamisation de l'Occident

Depuis sa prise de pouvoir, le régime socialiste s'applique à détruire la France, sa cohésion sociale, son économie, ses valeurs universelles en commençant par la famille, ses libertés, à ignorer ses lois. La paix civile en est compromise, les barbares nous ont déclaré la guerre... Comment en est-on arrivé là ? Comment la France a-t-elle bien pu perdre son âme ? Est-ce une fatalité ?

L'absence de discernement et de lucidité, son fanatisme et sa lâche collaboration avec l'envahisseur (quel qu'il soit) sous prétexte de "pacifisme", ne sont-ils pas dans les gènes de cette gauche au pouvoir ? Avec l'aide d'un des plus grands experts mondiaux en matière de propagande soviétique, de désinformation et de manipulation, tentons d'éclairer la marche insidieuse et perfide d'une subversion vieille de presque 70 ans.

Petit rappel historique :  juste après la deuxième guerre mondiale, l’URSS et les USA  se livraient à la fameuse "Guerre Froide". Et nos petites démocraties européennes devenaient un terrain de prédilection pour les soviétiques dans leurs grandes manœuvres de subversion. Ils entamaient au grand jour un processus de déstabilisation lent, terriblement pernicieux et hautement toxique.  L'action passée du KGB service de renseignement de l'URSS post-stalinienne est responsable de l'égarement actuel, alors que le régime soviétique s’est effondré avec le mur de Berlin le 9 novembre 1989.

Ex-agent du KGB, Yuri Alexandrovitch Bezmenov est passé à l’Ouest dans les années 1970. Il a raconté en 1985 les techniques de déstabilisation et de manipulation de l’opinion. Il révèle ainsi comment le bloc socialo-communiste :

  • a sciemment mis en œuvre une politique globale de manipulation de l’opinion et des élites au niveau mondial,
  • a conditionné les écoliers et étudiants occidentaux aux idéaux socialistes sur au moins trois générations. Cette tâche représentait selon lui 85% de l’activité du KGB. Et oui, désolée, c’est moins glamour qu'un James Bond !
  • a systématiquement recruté tous les faiseurs d’opinion à l’Ouest pour influencer et déstabiliser le monde non-communiste.
  • a “dé-moralisé” (perte des valeurs) et conditionné des pans entiers de la société, devenus les “idiots utiles” du socialisme.

«La plupart qui ont fait leurs études dans les années 60, de ceux qui ont quitté l’école, et la plupart des pseudo-intellectuels occupent aujourd’hui des postes de pouvoir au gouvernement, dans l’administration, dans les affaires, les médias, ou dans le système éducatif.» explique-il «Ils sont contaminés : programmés pour penser et réagir à certains stimuli d’une façon déterminée. Vous ne pouvez pas changer leur façon de voir, même si vous leur présentez des informations véridiques. Même si vous leur démontrez que blanc c’est blanc, et noir c’est noir, vous ne pouvez pas modifier leurs perception de base et leur logique de comportement.
Chez ces gens-là, le processus de dé-moralisation (rejet des valeurs) est total et irréversible. Dire la vérité n’a plus aucune importance. Une personne qui a perdu tout sens moral n’est plus en mesure de prendre en compte la réalité des faits. Les faits, le réel cela ne l’atteint plus. Même en la bombardant d’information, de preuves authentiques, de documents, de photos, même si on l’emmenait de force en ex-URSS pour lui montrer les camps de concentration, elle refuserait d’y croire.  C’est le tragique de la perte de nos valeurs fondamentales.
»

Chez les Hollande, Valls, Taubira ...le mal est fait et mis en pratique.
Le KGB disait à ses agents : « Entrez en contact avec les cyniques, les égocentriques qui peuvent vous mentir d’un air angélique en vous regardant droit dans les yeux. Voilà les gens qu’il fallait recruter : ceux qui n’avaient plus aucun principes moraux, des gens avides de pouvoir, ceux qui se prennent pour quelqu’un, ou qui se croient très importants »

Inutile de faire un dessin, vous aurez tous compris !
Voici donc la haine du "riche ou du sans-dent", la consternante incompréhension pour l’économie libérale, le mépris pour les entrepreneurs, pour les épargnants qui ont travaillé toute leur vie,  le pouvoir exorbitant des syndicats qui ne représentent plus qu'eux-mêmes, le sectarisme à l'encontre d'une France "rancie, moisie" condamné à payer le tribut et à "s'écraser", le mépris pour la religion chrétienne fondatrice de notre humanisme républicain et des Droits de l’Homme, une laïcité sciemment dénaturée et corrompue au profit d’un islam liberticide qu’ils se refusent à regarder en face…

La subversion consiste essentiellement à manipuler l’opinion en changeant sa perception de la réalité au point que malgré la profusion d’information, plus personne n’est capable de tenir un raisonnement correct  afin de défendre ses propres intérêts, ceux de sa famille, de sa communauté, ou de son pays. Elle vise à renverser l'ordre établi, ses lois et ses principes.
Pourquoi le socialisme marxiste, malgré toutes les preuves de sa nocivité et sa disparition, est toujours si prégnant dans les petites têtes qui nous gouvernent ?

« Ces gens de gauche qui croient en la beauté du système soviétique, communiste, socialiste (cf. Hollande agenouillé devant Fidel Castro) … peu importe son nom,  en deviennent les pires ennemis quand ils ouvrent les yeux sur la réalité. Le KGB insistait  particulièrement sur ce point : ne vous préoccupez jamais des gauchistes. Oubliez ces prostitués politiques. Visez plus haut. Essayez de pénétrer les média conservateurs bien établis, d’atteindre les producteurs de films riches à millions, les intellectuels, les milieux soi-disant académiques... » ordonnait le KGB.

A votre avis, pourquoi autant de profs formatés continuent de saper des générations d’écoliers, collégiens, étudiants ? Pourquoi les élèves journalistes votent-ils tous à gauche ? Pourquoi l'ENA forme-t-elle toujours autant en dehors des réalités et du bon sens ? L'étalonnage du degré d'intoxication des journalistes est parfait: presque tous de gauche, ils sont en complète contradiction avec leur charte déontologique ! (Relire ICI «Prenez Brunet, par compassion. Donnez-lui une petite chronique par charité républicaine.» )

L’école publique a décervelé pas moins de 3 générations.
Le lavage de cerveaux a commencé à prendre de l’ampleur dès les années 50. Les théories marxistes ont été injectées depuis 1945 dans les esprits malléables sans rencontrer de résistance, sans être contrebalancées par les fondamentaux de la république démocratique française. Ajoutez à cela dans les années qui ont suivi la défection  des parents absents, la mode des familles éclatées qui peinent à remplir leur rôle éducatif, et les enfants n'ont plus comme référence que l'enseignement tendancieux qu'ils reçoivent à l'"école de la république" Grâce à la Novlangue si chère aux "pédagogues" du Système, la mauvaise maîtrise de la langue rend les gens stupides et dépendants. Ils deviennent des sujets aisément manipulables.

Aujourd’hui, les plus vieux des intoxiqués ont aujourd’hui entre 55 et 65 ans (comme Hollande et la grande majorité des leaders politiques de gauche, au centre et même certains à droite !)… Et les plus jeunes sont nos enfants ! Nos chères têtes blondes seront définitivement contaminées si nous laissons les profs gauchistes leur inculquer une Histoire réécrite à la mode Filippetti ou Belkacem, si nous laissons ces enseignants leur interdire tout esprit critique et dénigrer le patriotisme au nom d'un "vivre ensemble" fantasmé. Entre ces deux générations, toute une palanquée de responsables d'associations et de milices "antifas", enseignants, journalistes, éditeurs, écrivains, acteurs, chanteurs, éducateurs,  profs de sciences politiques, de l’ENA (avec cette promo Voltaire qui tient la France en otage), responsables associatifs, parfois même prêtres ou pasteurs désireux de nouer avec les islamistes un «dialogue interreligieux». Car enfin, dialogue-t-on avec Ebola ?

S'arrangeant jadis du nazisme, aujourd'hui soumise à l'islam, la gauche détruit méticuleusement  toutes les défenses immunitaires de la France .
C'est un fait historique établi, le pacifisme prôné par le "Front populaire" a fait le lit de la collaboration avec l'Allemagne nazie. Aujourd’hui, ce même "idéal" utopique nous mène tout droit à l'établissement d'une République Islamique Française ! Voir LA le congrès de l'Union des Organisations Islamiques de France.
Depuis les années Mitterrand, le socialisme  a creusé dans la mentalité française un vide moral et éthique abyssal, un vide tel que s'y engouffre l'islam, cette idéologie politico-religieuse criminelle et totalitaire. La rencontre de ces deux courants qui se "nourrissent" l'un l'autre crée les conditions d'un cataclysme national. Aux socialistes, l'électorat musulman et la neutralisation de la France qui résiste, aux islamistes la complaisance et la promotion de l'obscurantisme mahométan. C'est ainsi qu'un parti de délinquants notoires menant campagne utopique et propagande haineuse a su installer un François Hollande, président fantoche aux commandes de l’État français. Et c'est aussi la raison pour laquelle tant de jeunes gens se jettent "à corps perdu" dans le djihad !

La guerre est déclarée.
Le KGB fut considéré comme "l'épée et le bouclier" de la Révolution bolchévique; En bon musulman, Erdogan, Président de la Turquie ne proclamait-il pas "Les minarets sont nos baïonnettes, les coupoles nos casques, les mosquées sont nos casernes et les croyants nos soldats"?

Nous la perdrons si nous continuons de composer avec cette gauche de l'abdication. Il est grand temps de forcer ces "idiots utiles" qui squattent l’Élysée, Matignon, l’Éducation Nationale, la Chancellerie, Bercy, le palais Bourbon et toutes les administrations étatiques à abandonner leurs postures, impostures, et définitivement leurs postes !

A condition que cette frange boboïsante de la nation soit définitivement mise hors d’état de nuire, l’espoir renaît dans la bouche de Yuri Alexandrovitch Bezmenov « Il faut de nouveau attendre 15 à 20 ans pour éduquer une nouvelle génération de jeunes, leur inculquer des idéaux patriotiques,  en faire des gens de bon sens qui agissent dans l’intérêt de la  société dans laquelle ils vivent. »

Courage, détermination animent notre résistance dans la France dévastée.  Patience et lucidité la rebâtiront.
Calculette@LaMutine
Boutons de partage en marge à gauche en haut. Merci ! 💙💐


Dernière édition par Calculette le Sam 9 Avr - 11:35, édité 6 fois
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Carton Rouge La subversion

Sam 30 Mai - 1:03
Extrait de "La subversion" https://ephesblog.wordpress.com/2014/01/31/la-subversion/ communiqué par @Epsibleu

II. Le processus de subversion

Toute société est fondée sur un certain nombre de valeurs et de structures qui constituent un propre. Les sociétés démocratiques ont ceci de particulier qu’elles sont constituées de nombreux mouvements distincts et antagonistes susceptible de s’opposer entre eux comme au pouvoir. Quand ces mouvements – ou certains d’entre eux – convergent, il suffit de les pousser à prolonger leur action jusqu’à ce qu’ils provoquent une crise. Les agences de propagande pourront assez facilement accompagner les revendications d’égalité de groupes marginaux ou laissés pour compte en leur procurant les moyens de leurs ambitions, allant de ressources sonnantes et trébuchantes à de l’armement en passant par du matériel d’impression.

1) Démoralisation[11]

La subversion s’attaquera à six domaines particuliers :

   La religion : dénigrer les croyances traditionnelles et les tourner en dérision, les remplacer par des sectes ou des cultes divers, primitifs ou archaïques. Mircéa Eliade comme Christopher Lash se sont étonnés que les sociétés de Progrès retournent à des cultes archaïques, néo-païens ou des superstitions millénaristes.
   L’éducation : remplacer les savoirs traditionnels, efficaces et scientifiques, par des savoirs inutiles. Les programmes des universités sont aujourd’hui truffés de ces « unités d’enseignement », remplaçant la chronologie par des thématiques absconses.
   La vie sociale : remplacer les liens naturels entre les gens par des organes bureaucratiques contrôlés par l’État: les associations de travailleurs sociaux, les experts divers depuis la naissance jusqu’à la mort, comme en Chine populaire les danwei, unités de travail abolies dans les années 90 mais qui subsistent encore.
   Les organes de pouvoir : substituer aux élus des gens incompétents qui n’ont pas le soutien du peuple ou des organes artificiels censés être représentatifs. L’action néfaste de ces technocrates permettra de renforcer un certain sentiment de fatalisme ou de perte de confiance.
   Justice et corps constitués : ridiculiser les corps constitués, les faire passer pour des gens incompétents ou des gens qui abusent de leur pouvoir. Éroder la distinction entre ce qui est criminel et ce qui ne l’est pas. Ces relais de l’autorité apparaissent comme corrompus – et le sont peut-être devenus !
   Relations professionnelles : déconsidérer les relations entre patron et employé. Donner une importance croissante aux syndicats, des « partenaires sociaux » qui deviendront une seconde oligarchie parallèlement aux fonctionnaires et prendront le contrôle des discussions sociales.

Il s’agit donc de semer le doute sur les valeurs fondatrices de la société visée, le doute personnel sur ses propres capacités à combattre, renforcer la certitude que l’ennemi est plus résolu que soi, la remise en cause globale des institutions et leur incapacité à remplir la tâche qui leur est propre. À ce stade, l’entreprise de démoralisation peut être contrée par un retour à la religion, aux choses spirituelles, dit Bezmenov.

2) Déstabilisation

Lorsque les anciens relais de pouvoir ou les anciennes structures ont été rendus sensibles aux nouvelles valeurs, lorsqu’il n’y a plus de différence entre le bien et le mal et lorsque les églises elles-mêmes prennent la défense des valeurs dominantes, alors il suffit simplement de laisser les choses se faire, agir sans forcer. A ce stade, tout compromis devient impossible. On assiste à une radicalisation antagoniste de la société civile et une « montée aux extrêmes » : les familles se divisent, les relations hiérarchiques se détériorent et le conflit devient la norme. La police et la justice prennent ici de plus en plus d’importance : les différends ne peuvent plus être réglés à l’amiable et finissent chaque fois devant les tribunaux. C’est en général à ce stade que certaines « minorités actives » commencent à acquérir plus de pouvoir[12], que l’on réveille les agents dormants ou que des personnes ultra-politisées apparaissent sur le devant de la scène. La division du corps social a toujours été un moyen facile de contrôle des peuples et profite toujours à d’autres, en général aux « grands[13] » ou même à un ennemi extérieur plus ou moins puissant. Affaiblir la résilience d’un peuple par la discorde en le poussant soit à la passivité par des stratégies de sidération, de dépendance économique (chômage de masse), soit à la lutte armée par le financement direct de groupuscules révolutionnaires facilite la prise d’influence et le contrôle. À ce stade, le choix de dissoudre certaines associations d’agitateurs peut être pris.

3) Crise

Comme expliqué plus haut, la crise survient lorsque divers groupes d’agitateurs n’ont pas été contenus. Une crise se caractérise par un effondrement de la confiance placée par les citoyens dans les institutions ou leurs dirigeants, une demande de renouveau et de changement, voire une demande d’autorité (pour endiguer l’explosion de la criminalité[14]). Lorsque tous les organes traditionnels de la société ont été rendus inopérants ou qu’ils se sont ralliés dans leur majorité, les relais ou officines autorisées prennent le pouvoir exécutif, législatif et judiciaire empêchant la société de fonctionner correctement et plaçant le peuple dans un tel état d’insécurité et d’abattement qu’il réclame lui-même l’autorité ou le sauveur qui viendra redresser la situation. Cette personne – en réalité un petit groupe de personnes –  peut venir soit de l’intérieur, soit de l’extérieur (un pays voisin, une organisation internationale, une banque). A ce stade, la résolution d’une crise ne peut se faire que d’une seule manière : la mise en place d’un gouvernement fort, voire dur.

4) Normalisation

Les autres débouchés possibles sont de nature uniquement militaire et se déclinent en deux versions : la guerre civile ou l’invasion[15]. Dans les deux cas, cela profite soit à une force intérieure – manipulée ou pas de l’extérieur -, soit directement à une force extérieure qui impose son pouvoir par la force de la matraque et la restriction générale de libertés. Si l’entreprise subversive réussit, la population sera dans un état de dépendance, de paralysie et de démoralisation tel qu’elle ne s’opposera pas à la prise de pouvoir par l’infime minorité qui constituera la caste des nouveaux dirigeants. Les agents dormants, les useful idiots (idiots utiles) ou les agents de subversion sont évacués ou supprimés, socialement ou physiquement. On installera à ce moment un nouveau gouvernement avec une nouvelle machine d’État. Les forces sociales sont tellement affaiblies par la crise qui précède qu’elles n’ont pas les moyens de se révolter en masse. Les quelques foyers de résistance qui subsistent sont pourchassés et éliminés.

Évidemment, ce processus général peut être caractérisé par la montée en puissance de protagonistes divers, voire ennemis. Divers camps lutteront entre eux et diverses forces lutteront en leur sein pour la possession du pouvoir. Dans le cas de la Chine par exemple, la rencontre avec l’Occident et la guerre de l’Opium (1840) qui appauvrira considérablement le pays économiquement et socialement[16] provoquera diverses révoltes dont la plus célèbre est celle des Taiping, l’invasion étrangère notamment française et anglaise, la chute des Qing – la dynastie mandchoue qui était étrangère, une remise en cause globale des valeurs traditionnelles chinoises – « A bas Confucius et sa boutique ! », la fondation de la République en 1911, la lutte des seigneurs de guerre, la montée en puissance du parti communiste chinois grâce à une stratégie de guérilla, l’invasion japonaise, le repli des nationalistes du Kuomintang à Taïwan et la victoire finale du communisme. Au sein du parti communiste chinois diverses factions se battront pour le pouvoir jusqu’à ce que Mao Zedong l’emporte et règne en autocrate sur la Chine jusqu’à sa mort. Les réformes entreprises par Deng Xiaoping feront passer la Chine très rapidement au socialisme de marché, le dernier mouvement social d’ampleur étant Tian An Men en 1989.



Conclusion :

Le processus décrit ici paraîtra sans doute simpliste aux yeux du lecteur, mais il a le mérite de montrer les différentes étapes possibles de l’effondrement d’une société. Comme nous l’avons fait remarquer plus haut, les pays et les nations sont traversées par de multiples forces en lutte constante : régionales, supranationales, étrangères. Des pays étrangers mettent en place sur notre sol – et nous le faisons aussi ailleurs – des stratégies d’influences culturelles, économiques multiples dont nous ne sommes pas forcément conscients par manque d’information, parce que ce sont souvent des débats tenus secrets et aussi parce que la reconstruction du processus en constante évolution dépasse sans doute largement l’esprit humain. Aujourd’hui, nous constatons que l’Europe est en crise et que cette crise et globale : religieuse, intellectuelle, politique, économique, sociale, artistique. De plus en plus de voix s’élèvent pour appeler à un pouvoir fort qu’il soit national ou européen, voire mondial comme le souhaiterait Jacques Attali. De plus en plus de gens sentent que la situation actuelle menace d’être explosive, que la France dérive potentiellement vers la guerre civile ou que nous risquons tous de glisser vers une  quatrième  guerre mondiale[17] qui risquerait bien d’être plus terrible que les deux précédentes.

Chacun a sa propre vision des mesures à prendre et elles diffèrent énormément tant par leurs finalités que par les moyens à utiliser. Le résultat ne ressemblera sans doute pas à ce que nous visons chacun individuellement. Il semble cependant qu’il soit nécessaire et urgent, non pas par choix partisan mais pour des questions de survie, de rechercher une Pax Oecumenica. et Celle-ci ne viendra que des peuples, pas de leurs dirigeants. Ces derniers auront pour intérêt de nous faire rentrer, de gré ou de force dans une logique de « montée aux extrêmes », processus inéluctable d’entrée dans un conflit armé qu’il s’agira de désamorcer à toutes les échelles, de la famille au supra-État en passant par le quartier, le village, la région, la nation… Elle passe aussi par la mise en place de contre-pouvoirs à l’État et je n’en vois qu’un : la religion.

Dans un prochain article, nous verrons ensemble comment mettre en place des stratégies de lutte afin d’atteindre cet objectif.
Calculette
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Carton Rouge "La guerre civile aura bien lieu !" par J.-P. Fabre Bernadac

Mer 3 Juin - 17:15
Extrait
"Soyons honnêtes. Nous le découvrons tous les jours et le sentons confusément : la France est une vaste Cocotte-Minute dont les gouvernants et les médias ont refermé définitivement le couvercle de peur de voir une réalité politiquement incorrecte s’en échapper. L’État gangrené au plus haut niveau refuse de voir la situation. Il lui est donc impossible d’appliquer des remèdes puisqu’il nie la maladie. Ainsi, nous avons, autour des zones rurales extra-urbaines, des villes « boboïsées » hérissées de logements sociaux et entourées de centaines de zones de non-droit. Il suffit d’une étincelle pour que le conflit latent entre ces deux forces éclate au grand jour."
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